D'abord se prouver à soi-même qu'on est bien, aller au bout de ses forces, mais sans les dilapider ; ne jamais rêver : agir.
Andrée Maillet
L'argent change les gens aussi souvent qu'il change de mains.
Al Batt
D'un amant - Je serai le parfait modèle, - Trop bête pour être inconstant - Et trop laid pour être infidèle.
Alfred de Musset
Quel est le souverain remède contre la faiblesse ? L'effort.
On sentait bien qu'avec la pilule la vie serait boulversée, tellement libre de son corps que c'en était effrayant. Aussi libre qu'un homme.
Annie Ernaux
Lorsqu'il faut payer ses impôts, j'ai l'impression, à chaque fois, que c'est l'extrême ponction.
Damien Caillaud
Il semble impossible de passer toute sa vie sans avoir près de soi la douceur d'une présence féminine.
Guy de Larigaudie
Je préfère la mocheté travestie, croulant sous les ornements ridicules, à la mocheté sans masque.
Jean Dutourd
Allez de monde en monde, de richesse en richesse, vous ne trouverez pas votre bonheur. La terre entière ne peut pas plus contenter une âme immortelle qu'une pincée de farine, dans la bouche d'un affamé, ne peut le rassasier.
Jean-Marie Vianney
Il n'y a que deux méthodes pour conquérir les femmes qui ne sont pas des gourgandines vénales, les faire pleurer ou les faire rire.
Maurice Denuzière
Je crois que le jardin secret des hommes représente la plus ultime des terres à explorer.
Michel Bussi
Je sais le vide que ça laisse en toi, sans ma plus fidèle amie, je serais sûrement sans toit.
Nekfeu
W.C. Fields disait : "Quelqu'un qui n'aime pas les enfants ne peut pas être tout à fait mauvais". Je ne sais pas si Monsieur Fields a raison. Tout ce que je sais c'est que le bon Dieu l'a puni en lui donnant un nom de chiottes. C'est bien fait.
Pierre Desproges
Un nain est toujours petit, eût-il une montagne pour piédestal.
Sénèque
Je sens des boums et des bangs Agiter mon coeur blessé L'amour comme un boomerang Me revient des jours passés A t'aimer comme une dingue Prête pour toi à me damner
Serge Gainsbourg
Qu'est-ce qu'un serment ? Un mot, emporté par le vent.
Stefan Zweig