Citation de Anna de Noailles

← Précédent Suivant →
Descendre par l'étroite, horizontale porte Où l'on passe étendu, voilé, silencieux ; Ne plus jamais vous voir, ô Lumière des c... - Anna de Noailles

Descendre par l'étroite, horizontale porte Où l'on passe étendu, voilé, silencieux ; Ne plus jamais vous voir, ô Lumière des cieux. Hélas ! Je n'étais pas faite pour être morte.

Anna de Noailles

Toutes les citations de Anna de Noailles →

Explorer les Citations

Glorifier le vagabondage et ce qu'on peut appeler le Bohémianisme, culte de la sensation multipliée, s'exprimant par la musique.

Charles Baudelaire

À une époque où la masse des humains se divisait en deux catégories, les proies et les prédateurs, il était surprenant de constater à quel point certaines gazelles pouvaient rester aveugles à la présence de léopards autour d'elles.

Dean Koontz

Il y a des temps des hauts qui t'enroule à merci, le temps d'en bas qui te traîne dans tous les sillons, sans compter de là – bas qui cogne en éclair dans la tête, et combien d'autres insoupçonnés

Edouard Glissant

Les imbéciles sont travaillés par l'idée de rédemption.

Georges Bernanos

Je sais que les choses sont rarement comme elles devraient l'être, mais je crois du plus profond de mon âme qu'à nous tous, on doit pouvoir survivre à cette chienne de vie.

Gilles Legardinier

Je crois qu'on a tous une bonne étoile sauf que des fois elle est bien planquée.

Grand Corps Malade

Il est vrai qu'on dit cela les yeux gros, et cela doit ennuyer les vôtres.

Jean Le Rond d'Alembert

Rien de plus pitoyable que de voir un homme chercher d'une manière quelconque à s'attribuer un mérite qui ne lui appartient pas.

Jean Paul

Les pires histoires sont des histoires de famille.

Jovette Bernier

Vous pouvez toujours rêver et vos rêves peuvent devenir réalité. Mais vous devez les réaliser.

Michael Jackson

On les leurre (les femmes), en somme, et acharne par tous moyens ; nous échauffons et incitons leur imagination sans cesse.

Michel de Montaigne

Le bonheur ne fleurit pas pour ceux qui suivent des chemins obliques.

Pindare

Qui bien aime, tard oublie.

Proverbe Français

Toute poésie tend à devenir anonyme.

René-Guy Cadou

Entre ces fenêtres, le crépi, tombé par écailles comme les squames d'une peau malade, mettait à nu des briques disjointes, des moellons effrités aux pernicieuses influences de la lune.

Théophile Gautier