Citation de Anne Alassane

On a toujours tendance à idéaliser ceux qu'on aime et, parfois, à attendre d'eux ce qu'ils ne sont pas en mesure de nous donner.... - Anne Alassane

On a toujours tendance à idéaliser ceux qu'on aime et, parfois, à attendre d'eux ce qu'ils ne sont pas en mesure de nous donner.

Anne Alassane

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L'aube est comme un poids que les hommes portent aux paupières, suspendu.

Agnès Guitard

Ne perdons rien du passé. Ce n'est qu'avec le passé qu'on fait l'avenir.

Anatole France

Il assiste à toutes les déroutes de la morale, à toutes les débâcles de la psychologie.

Antonin Artaud

Il y a une manière de vivre - comme si on ne tenait plus à la vie - qui est le nom le plus secret de l'amour.

Christian Bobin

Quand on veut se débarasser d'une chose, on ne lui trouve que des défauts.

Félix Leclerc

On ne fait pas le droit, il se fait. Cette brève formule contient toute son histoire.

Gustave Le Bon

La main n'est que le prolongement de la sensibilité et de l'intelligence. Plus elle est souple, plus elle est obéissante. Il ne faut pas que la servante devienne maîtresse.

Henri Matisse

Celui qui a une épingle dans l'oeil, l'avenir de la marine à vapeur anglaise ne l'intéresse plus.

Henri Michaux

J'achevai ce travail tout en en faisant d'autres, et trouvant toujours qu'un changement d'ouvrage est un véritable délassement.

Jean-Jacques Rousseau

Le chant doit être au parler ce que les vers sont à la prose.

Joseph Joubert

Son Papé était comme les autres, au fond. Un homme qui avait laissé filer en chemin ses illusions. Parce que le monde tournait trop vite, une gigantesque machine à essorer les utopies.

Michel Bussi

Ta robe de mariée est faite pour épouser mes regrets.

Michel Polnareff

Un seul oeuf gâté gâte toute la patisserie.

Proverbe Allemand

Sous le joug de la pauvreté, la langue de l'homme reste enchaînée.

Théognis de Mégare

Le premier des plaisirs et la plus belle gloire, C'est de prodiguer les bienfaits : Si vous en répandez, perdez-en la mémoire ; Si vous en recevez, publiez-le à jamais.

Voltaire