Citation de Anne Bernard

← Précédent Suivant →
La musique. Serait-elle un fluide mystérieux doué d'ubiquité ou un philtre magique que l'ouïe absorbe pour la dispenser dans toutes les... - Anne Bernard

La musique. Serait-elle un fluide mystérieux doué d'ubiquité ou un philtre magique que l'ouïe absorbe pour la dispenser dans toutes les cellules et nous apporter l'évasion.

Anne Bernard

Toutes les citations de Anne Bernard →

Explorer les Citations

La vertu est infiniment plus dangereuse que le vice. On ne peut la dénoncer, on ne peut que la punir.

Andrée Maillet

La masse, comme telle, est toujours anonyme et irresponsable.

Carl Gustav Jung

Je suis sale, Les poux me rongent. Les pourceaux, quand ils me regardent, vomissent.

Comte de Lautréamont

L'amitié naît d'une mutuelle estime et s'entretient moins par les bienfaits que par l'honnêteté.

Étienne de La Boétie

Est-ce qu'on pense aux petits, aux obscurs, aux sans-grades, comme disait Hugo ?

François Bayrou

Mieux vaut être cocu qu'aveugle : cela gène moins pour marcher !

Henri Dauleau

Il faut faire une paix qui ait la grandeur d'âme de la guerre.

Henry de Montherlant

Un pouvoir impunément bravé touche à sa ruine. Cette maxime est gravée plus profondément au coeur d'une femme qu'à la tête des rois.

Honoré de Balzac

La véritable conduite de la vie est dans la pensée, qui transforme toute chose.

Jacques Chardonne

Les gens me demandent qui est mon artiste de country préféré. Je dis, vous voulez dire aprés George Jones.

Johnny Cash

Quand arrive la religion, arrivent les différences, arrivent les disputes, et on n'est plus capable de s'entendre.

Malcolm X

Et la rose, telle une nymphe allant se baigner, Qui dévoile le secret de son sein éclatant Si bien que, pli après pli, à l'air pâmé L'âme de sa beauté et de son amour est mise à nu.

Percy Bysshe Shelley

Coeur content embellit le visage.

Proverbe Anglais

Une femme qui n'a pas peur des hommes leur fait peur, me disait un jeune homme.

Simone de Beauvoir

Le plus bel hommage qu'on puisse rendre à un défunt a été imaginé à mon avis par certains aborigènes d'Australie. Lorsque leur chef meurt, ils suppriment un mot, ils l´effacent définitivement de leur langue.

Vassilis Alexakis