Citation de Anne Hébert

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C'est cela le mariage, la même peur partagée, le même besoin d'être consolé, la même vaine caresse dans le noir.... - Anne Hébert

C'est cela le mariage, la même peur partagée, le même besoin d'être consolé, la même vaine caresse dans le noir.

Anne Hébert

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Amours de nos mères, à nul autre pareil.

Albert Cohen

Les femmes entretenues prévoient toujours qu'on les aimera, jamais qu'elles aimeront, sans quoi elles mettraient de l'argent de côté.

Alexandre Dumas

Le vrai bonheur ne consiste qu'à satisfaire toutes ses passions.

Charles Fourier

Orgasme : un mouvement collectif à deux.

Francesco Alberoni

Il n'y en a point qui pressent tant les autres que les paresseux lorsqu'ils ont satisfait à leur paresse, afin de paraître diligents.

François de La Rochefoucauld

Trente centimètres, c'est petit pour un nain, mais c'est grand pour une bite.

Frédéric Dard

J'aime cette demeure comme on aime ce qu'on désire ardemment posséder.

Guy de Maupassant

La France est un pays qui adore changer de gouvernement à condition que ce soit toujours le même.

Honoré de Balzac

La compatissance et la tendresse d'une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique.

Honoré de Balzac

Nous allions à Pornichet dans la Loire Inférieure. La mer, [...] changeait les gens. A peine arrivés, ils n'avaient plus la même couleur, ni la même façon de parler. Ils étaient remis à neuf, on aurait dit des autres.

Jacques Prévert

L'esprit est un instrument de musique avec une certaine gamme de tons, au-delà desquels s'étend un silence infini.

John Tyndall

Nous vivons dans un siècle où les idées superflues surabondent, et qui n'a pas les idées nécessaires.

Joseph Joubert

Je ressentis devant elle ce désir de vivre qui renaît en nous chaque fois que nous prenons de nouveau conscience de la beauté et du bonheur.

Marcel Proust

Le comble des faveurs attire le mépris d'un homme, au lieu de sa reconnaissance.

Pierre Abélard

L'humanité est devenue assez étrangère à elle-même pour réussir à vivre sa propre destruction comme une jouissance esthétique de premier ordre.

Walter Benjamin