Il faut seulement choisir qu'elle forme donner à notre malheur. Si l'on veut, par exemple, que nos morts familiers cessent de nous tourmenter, il faut les clouer au pinacle. Là-haut, tout là-haut dans le ciel, ils nous encombrent moins. On crée un panthéon, on y installe le mort qu'on aime, on décide qu'on lui dédiera tout, qu'en échange il nous protègera.