Citation de Annette Wieviorka

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L'univers concentrationnaire est un vaste continent dont nous ne connaissons pas encore tous les recoins.... - Annette Wieviorka

L'univers concentrationnaire est un vaste continent dont nous ne connaissons pas encore tous les recoins.

Annette Wieviorka

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Si la hyène est en permanence en éveil, c'est parce qu'elle sait qu'elle a très peu d'amis sincères sur cette terre.

Ahmadou Kourouma

Les génies savent que le génie c'est de la ténacité. Les crétins croient que c'est un don.

Albert Cohen

(Les trois états successifs de toute pensée et de toute connaissance) : l'état théologique, ou fictif ; l'état métaphysique, ou l'abstrait ; l'état scientifique, ou positif.

Auguste Comte

Les preuves sont un antidote contre le poison des témoignages.

Francis Bacon

Les gens du commun ne prient guère, ils mendient uniquement.

George Bernard Shaw

Franc-maçonnerie : Encore une des causes de la Révolution ! Les épreuves de l'initiation sont terribles. Cause de dispute dans les ménages. Mal vue des ecclésiastiques. Quel peut bien être son secret ?

Gustave Flaubert

Ceulx qui veulent entreprendre sur mon authorité, et estre plus grands que moy.

Jacques Amyot

Avec un peu d'imagination, on peut très bien vivre toute sa vie en un soir.

Jean Anouilh

Traiter un adversaire de trou du cul sans fesses, c'est l'anéantir, en faire un néant de sottise, un zéro.

Jean-Paul Sartre

Le mirage de l'amour, c'est de faire croire à ceux qui en sont témoins qu'ils peuvent le partager.

Jeanne Galzy

La raison consiste souvent à bien choisir sa folie.

Joseph Michel Antoine Servan

Jean Le Rond d'Alembert : Mon dard, je te le branle.

Laurent Baffie

Nous avons des règles pour le théâtre qui passent peut-être les forces de l'esprit humain, et que les plus heureux génies n'exécutent que faiblement.

Luc de Clapiers

La pensée voyage à la vitesse du désir.

Malcolm de Chazal

Mais pardonne aux abois d'une vieille amitié, - Qui ne peut expirer sans me faire pitié, - Et laisse-moi, de grâce, attendant émilie, - Donner un libre cours à ma mélancolie.

Pierre Corneille