J'espère qu'un jour mes rêves deviendrons réalité et que je me réveillerais à tes cotés, je t'aime tellement...
Anonyme
Celui qui a affirmé que le chemin menant au coeur d'un homme passait par son estomac visait manifestement trop haut.
Allan Pease
Saisissez chaque opportunité qui se présente à vous, vivez chaque expérience. Laissez une marque dans le monde, pour les bonnes raisons.
Chrissie Wellington
Alors j'ai pensé que ma vie n'aurait plus jamais de sens si elle devait être privée de cet homme, j'ai pensé que jamais plus je ne pourrais rire, ni parler, ni marcher, si cet homme devait me quitter.
Delphine de Vigan
Faut-il toujours un cadavre pour que vienne un nouveau-né ?
Francis Blanche
Un chien pressé se souvient toujours que la ligne droite est le plus court chemin d'un poing à un os.
Frédéric Dard
Ma seule routine est de ne pas avoir de routine.
Jackie Kennedy
Ayant receu le royaume d'un peuple nouvellement amassé, qui ne luy contredisoit en rien...
Jacques Amyot
J'ai fait un bon boulot avec moi-même, tout seul. Je me suis construit par rapport à mes rêves et je ne m'en suis pas trop mal sorti.
Johnny Hallyday
La faveur personnelle du cardinal Fleury a inondé la France non seulement de proscriptions, mais d'expatriations.
Louis de Rouvroy de Saint-Simon
Je fais de mon mieux pour élever mon fils et lui donner un environnement propice, aimant et attentionné afin qu'il puisse grandir et être la meilleure version de lui-même.
Miranda Kerr
Une théorie d'art aide à la critique, non à la création.
Paul-Jean Toulet
Tous ces grands discoureurs inutiles et vains Avec beaucoup de langue ont rarement des mains.
Pierre Du Ryer
Il y a des livres si audacieux, qu'on ne devrait les publier qu'avec un cache-texte.
Roland Dorgelès
Il n'y a eu qu'une seule religion dans le monde qui n'ait pas été souillée par le fanatisme, c'est celle des lettrés de la Chine. Les sectes des philosophes étaient non seulement exemptes de cette peste, mais elles en étaient le remède
Voltaire
Demain, demain, demain, se glisse ainsi à petits pas d'un jour à l'autre, jusqu'à la dernière syllabe du temps inscrit ; et tous nos hiers n'ont travaillé, les imbéciles, qu'à nous abréger le chemin de la mort poudreuse.
William Shakespeare