On nous dit que l'homme n'utilise que 10% de son cerveau ; c'est peut-être mieux ainsi.
Anonyme
Les soumissions de l'ambition sont orgueilleuses.
Christine de Suède
Vous êtes-vous réellement penché sur l'abîme que sont les contes ? Il y a là toute la boue humaine : craintes, envies, pulsions destructrices. Jamais la littérature n'améliore quoi que ce soit. Elle se contente de constater la permanence du mal, voire de l'entretenir.
Fabien Clavel
En start-up, on apprend à gérer de manière très créative et économe...
Fabrice Caretta
Cette langue française qui nous fonde et nous soude. Les politiques devraient en priorité réfléchir à cette force-là.
Fabrice Luchini
Parler est le plus moche moyen de communication. L'homme ne s'exprime pleinement que par ses silences.
Frédéric Dard
L'ostracisme estoit comme un contentement et une allegeance de l'envie de la commune.
Jacques Amyot
La poésie aide au vif de la vie.
Jeanne Benameur
Cercle vicieux : changer le monde pour avoir la foi. Avoir la foi pour changer le monde.
Michel Polac
Seuls les amis sont capables de voir que vos jambes sont sur le point de se dérober alors que vous continuez pourtant à sourire.
Natasha Illum Berg
Explication de l'état de grâce du commerce amoureux : plus on est proche du partenaire, moins on le voit. Ainsi s'expliquent les longues passions.
Philippe Bouvard
Finalement, les femmes et les hommes n'ont eu de cesse d'explorer de nouveaux territoires, de plonger dans les forêts et les mers, les montagnes et les plaines, tout ce qui les dépassait, pour réduire l'ensemble en esclavage.
Pierre Ducrozet
Sauce bonne pour l'oie, est bonne pour le jars.
Proverbe Anglais
Si le dicton dit vrai, - Méchante femme s'épouse en mai.
Proverbe Français
Pour moi, rien n'est plus beau qu'un couple épanoui. L'homme et la femme qui réussissent ce prodige créent, ensemble, un troisième être qui dépasse chacun d'entre eux et qui les relie à l'harmonie du monde.
René Barjavel
Le 9 février au soir, le P.C. avait organisé une manifestation antifascite que la police contra brutalement, tuant six ouvriers.
Simone de Beauvoir