Citation de Anonyme

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Dans les romans d'autrefois, le héros n'embrassait jamais l'héroïne avant la dernière page. Maintenant, il l'embrasse sur la jaquette, avant... - Anonyme

Dans les romans d'autrefois, le héros n'embrassait jamais l'héroïne avant la dernière page. Maintenant, il l'embrasse sur la jaquette, avant même qu'on ait ouvert le livre.

Anonyme

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Le bonheur amoureux est la preuve que le temps peut accueillir l'éternité.

Alain Badiou

L'une des fonctions principales d'un ami consiste à subir, sous une forme plus douce et symbolique, les châtiments que nous désirerions, sans le pouvoir, infliger à nos ennemis.

Aldous Huxley

Quand on est jeune, tous les chemins s'ouvrent devant soi. Il suffit de prendre le bon.

André Mathieu

J'ai hâte de sentir ta peau frissonner sous mes doigts.

Anonyme

Je ne suis pas pour l'entraînement. Ma philosophie : pas de souffrance, pas de souffrance.

Carol Leifer

L'indifférence est le sommeil de l'âme.

Charles-Simon Favart

Les choses les plus tristes sont souvent les plus drôles.

Edward Bunker

Un médecin consciencieux doit mourir avec le malade s'ils ne peuvent pas guérir ensemble. Le commandant d'un bateau périt avec le bateau, dans les vagues. Il ne lui survit pas.

Eugène Ionesco

Bien que vous recherchiez en vos habits le sceau de votre liberté, vous n'y trouverez bien souvent que des chaînes.

Gibran Khalil Gibran

Crains Dieu et tu ne craindra personne d'autre.

Hazrat Ali

Les premières couronnes de la gloire sont aussi les plus brillantes, c'est le premier baiser qui donne l'ivresse la plus douce.

Nikolaus Lenau

Les yeux sont les miroirs du corps, ils en disent beaucoup plus long sur l'état de nos viscères que sur celui de notre âme ou de notre esprit.

Pierre Reverdy

Avoir du temps, c'est posséder le bien le plus précieux pour celui qui aspire à de grandes choses.

Plutarque

La terre feule, les nuits de pariade. Un complot de branches mortes n'y pourrait tenir.

René Char

Ce silence sublime de l'immensité où tant de cris se perdent, il "éclate dans ma poitrine si fort qu'il ne saurait y avoir dans mon" coeur un petit recoin spécial pour le ghetto : je me sens chez "moi dans le vaste monde partout où il y a des nuages, des" oiseaux et des larmes.

Rosa Luxemburg