Les beaux moments deviennent de beaux souvenirs ; Les mauvais moments deviennent de belles leçons.
Anonyme
Il fallait se méfier de la méchanceté qui semble être un luxe qu'on peut se permettre, quand on est jeune, car la vérité est tout autre : la méchanceté est une lumière froide dans laquelle les choses perdent leurs couleurs, et ce définitivement.
Alessandro Baricco
Tout est bien qui vient en son temps.
Chilon
La ruse ou la valeur sont les droits de la guerre.
Desforges
Lorsque j'écris que tu as "fait" dans la Résistance, j'entends par là qu'on peut faire dans la Résistance comme on chie dans un pot de chambre.
François Mauriac
L'amour ne reposait-il donc sur rien de plus que le jeu auquel le moule des premiers liens condamne à vouloir jouer - et perdre - invariablement, indéfiniment ?
Françoise Hardy
Mais elle était née de mauvaise humeur et elle avait continué à être mécontente de tout. Fachée contre le monde entier, elle en voulait principalement à son mari.
Guy de Maupassant
Autrefois, ce devait être un lit de rivière car les pneus écrasaient d'immenses coquilles plates et corallines, encore nacrées.
Jean Cayrol
Les poux, c'est les puces du pauvre.
Jean Richepin
La faiblesse des démocraties, c'est qu'il leur faille, trop souvent, se renier pour survivre.
Jean Rostand
La culture, c'est un moteur économique pour notre pays, pour son rayonnement - grâce à notre langue, la francophonie - pour son attractivité.
Manuel Valls
Chaque personne est pour moi le Christ, et comme Jésus est unique, cette personne est alors pour moi unique au monde.
Mère Teresa
Moins on a de vrais problèmes, plus on en a de faux.
Paul Carvel
Même j'ai retrouvé debout la Velléda, Dont le plâtre s'écaille au bout de l'avenue, Grêle, parmi l'odeur fade du réséda.
Paul Verlaine
Plus j'aurai l'air con, et plus ce que je dirai aura l'air malin.
Philippe Geluck
... que peuvent se rappeler en effet les femmes de leur âme de jeune fille assoiffée de miracles dont les songes sont pareils à des fleurs blanches, fines et délicates, emportées par le premier souffle de la réalité ?
Stefan Zweig