La coutume pour les parents d'embrasser leurs enfants avant qu'ils ne s'endorment se perd : ils sont trop fatigués pour attendre que leurs enfants rentrent se coucher.
Anonyme
On vit que la cuisine était commode parce que très claire et carrée, avec un carreau neuf et un fourneau-potager que j'y avais fait installer.
Charles Ferdinand Ramuz
Sur Terre, horreur et splendeur vivent côte à côte.
Daniel Desbiens
Les souvenirs ressemblent à des graines et la mémoire est un germoir. Chacun garde en réserve des phrases entendues au cours de son existence, qu'il sèmera un jour ou l'autre.
François Weyergans
Je respecte la vie intime de mes voisins, et ne suis pas de ceux qui examinent avec des longues-vues le galbe d'une femme qui se couche, ou surprennent à l'oeil nu les silhouettes particulières aux incidents et accidents de la vie conjugale.
Gérard de Nerval
Ce senat fut comme une forte barriere tenant les deux extremitez en egale balance.
Jacques Amyot
La vie n'a pas à être parfaite pour être merveilleuse.
Jay-Z
Le bonheur est un état constant et l'homme un être trop muable pour que l'un convienne à l'autre.
Jean-Jacques Rousseau
Tout ce qui est, accouche d'un petit.
Massa Makan Diabaté
Etre le premier amant d'une femme ne signifie rien ; il faut être son dernier amant ; tout est là.
Maurice Donnay
Ils croient que rien n'arrivera parce qu'ils ont fermé la porte.
Maurice Maeterlinck
La compétence ou l'incompétence n'ont pas d'âge.
Michel Bouthot
Je suis désolée de donner l'impression d'avoir seulement une voix dure. Je fais mon possible pour que toute ma personne le soit.
Peter Høeg
Le Grand Journal conçu par Michel Denisot intégrait ce que je n'avais pas mis dans Nulle part ailleurs, comme par exemple la politique. Michel Denisot était très efficace dans cette partie, et ce que je trouve dommage c'est qu'aujourd'hui Antoine de Caunes est un peu perdu dans un format qui ne lui laisse pas la liberté dont il a absolument besoin.
Philippe Gildas
On n'a pas toujours l'eau comme on voudrait la boire.
Proverbe Belge
Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.
Stefan Zweig