Citation de Antoine de Rivarol

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Les enfants crient ou chantent tout ce qu'ils demandent, caressent ou brisent tout ce qu'ils touchent, et pleurent tout ce qu'ils... - Antoine de Rivarol

Les enfants crient ou chantent tout ce qu'ils demandent, caressent ou brisent tout ce qu'ils touchent, et pleurent tout ce qu'ils perdent.

Antoine de Rivarol

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Ce matin, en regardant les livres sur mes étagères, je me disais qu'ils n'ont pas conscience de mon existence. Ils ne prennent vie que parce que je les ouvre et tourne leurs pages, et pourtant ils ne savent pas que je suis leur lecteur.

Alberto Manguel

Le piano a beaucoup augmenté la valeur du silence.

Anne Barratin

Ni Dieu, ni maître.

Auguste Blanqui

Quand on parle, on campe dans sa parole. Quand on se tait, on campe dans son silence.

Christian Bobin

Ecrire, quelle boucherie !

Dominique Rolin

Enfermé dans la souffrance, isolé dans le plaisir, solitaire dans la mort, l'homme est condamné, par sa condition même, à ne jamais satisfaire un désir de communication auquel il ne saurait renoncer.

Gaston Berger

Et combien que de son propre estoc il eust grande dignité de noblesse, pour estre de la race et maison des Servius.

Jacques Amyot

Buvons ensemble À ta santé À tes succès À toi À nous À tes souhaits À tes projets

Jacques Demy

Le commerce est une guerre d'argent.

Jean-Baptiste Colbert

L'éternité se trahissait parfois à travers l'amour le plus déshérité.

Joë Bousquet

On dit toujours le lendemain ce que l'on a vu la nuit en rêve.

Louis Scutenaire

La vraie sagesse des nations est l'expérience.

Napoléon Bonaparte

J'ai une fille qui m'attend, un bout de moi et d'un homme que j'ai aimé du mieux que j'ai pu, tendrement, tranquillement, qui écoutait la musique de mes mots et que j'ai laissé partir parce que c'est ce qu'on fait quand on aime.

Nathacha Appanah

Faute de vigilance ou de ciseaux, la pilosité nasale est aux patrons français ce que les mauvaises herbes sont au gazon anglais.

Philippe Bouvard

La preuve du pire, c'est la foule.

Sénèque