Citation de Auguste de Villiers de L'Isle-Adam

← Précédent Suivant →
O femme ! si tu viens en oblation, volontaire holocauste, pour l'amour de Dieu, tu deviendras ton amour... - Auguste de Villiers de L'Isle-Adam

O femme ! si tu viens en oblation, volontaire holocauste, pour l'amour de Dieu, tu deviendras ton amour même réalisé, quand tu entreras dans ton éternité.

Auguste de Villiers de L'Isle-Adam

Toutes les citations de Auguste de Villiers de L'Isle-Adam →

Explorer les Citations

L'Allemagne a conquis l'hégémonie du monde en reniant hautement les principes de moralité politique qu'elle avait autrefois si éloquemment prêchés.

Ernest Renan

Il n'est de style que par l'ordre et le mouvement.

Georges-Louis Leclerc de Buffon

Epaminondas remonstra à la communaulté, comme la guerre alloit augmentant la ville de Sparte seule.

Jacques Amyot

Qu'il y ait un seul moment où rien ne soit, éternellement rien ne sera.

Jacques-Bénigne Bossuet

Tout fournisseur qui n'est pas digne de la corde mérite le ruban.

Jean Antoine Petit-Senn

Leur ineptie, comme le dit très bien Votre Majesté, fera gagner aux Allemands et aux Hollandais l'argent que la France perdra de gaieté de coeur.

Jean Le Rond d'Alembert

Cet AVC a été un coup dur mais je l'ai vaincu.

Jean-Paul Belmondo

L'Europe et le Viagra, même combat ! C'est le fameux traité de ma trique !

Laurent Ruquier

Au contraire de son contraire, le complexe d'infériorité n'est jamais gratuit.

Louis Scutenaire

La passion amoureuse tire sa force fulgurante de l'énergie créatrice qu'elle nous insuffle.

Louise Auger

Tous les malheurs du pays viennent du fait que les terres sont réparties de manière inégale.

Phan Huy Chu

Aussitôt notre tir se calme. Il n'y a que nos mitrailleuses ... qui continuent d'arroser le terrain.

Pierre Drieu la Rochelle

Demain soufflera le vent de demain.

Proverbe Breton

L'amour est un signe de notre misère. Dieu ne peut aimer que soi. Nous ne pouvons aimer qu'autre chose.

Simone Weil

Qui masque ses fautes se voit, en fin de compte, démasquer par sa conscience.

William Shakespeare