Citation de Augustin d'Hippone

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Laisse les racines de l'amour pousser en toi, car de ces racines ne peuvent fleurir que de bonnes choses.... - Augustin d'Hippone

Laisse les racines de l'amour pousser en toi, car de ces racines ne peuvent fleurir que de bonnes choses.

Augustin d'Hippone

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Une presse n'est pas vraie parce qu'elle est révolutionnaire. Elle n'est révolutionnaire que parce qu'elle est vraie.

Albert Camus

Sur la manche de son veston, il découvrit une tache de graisse. Eh, mon Dieu, quelle horreur ! murmura-t-il fémininement.

Albert Cohen

Picabia fut un des deux ou trois pionniers de ce qu'on a appelé, faute d'un autre mot, l'esprit moderne. Une oeuvre fondée sur la souveraineté du caprice, le refus de suivre, tout entière axée sur la liberté, même de déplaire.

André Breton

Don Juan n'était pas jeune ; il était laid et sentait le bouc.

Colette

Les histoires, il y a celles dont on se souvient, celles dont on rêve, et puis celles des autres : autant de miroirs sans fond recouverts par le verbe.

Delphine de Vigan

Le hasard décide souvent de nos vertus et de nos vices.

Geneviève Thiroux d'Arconville

La discipline, c'est d'aimer ce qu'on aime.

Georges Perros

Tout le monde sait que la radioactivité vient de l'atome et absolument personne n'ignore que la tomme vient de Savoie.

Jean Yanne

Le compliment était pour elle si inespéré, qu'elle se demanda d'abord s'il n'enfermait pas d'ironie.

Jules Romains

Les jours sont faits pour sonner l'un après l'autre comme une volée de cloches. C'est le coeur de l'homme qui leur sert de battant. Si le coeur n'y est pas, les jours sont tristes.

Louis Caron

La reconnaissance est une vertu prospective, plutôt que rétrospective.

Proverbe Anglais

Un âne en gratte un autre.

Proverbe Français

Un chef-d'oeuvre ne lèche pas la main de son créateur.

Stanislaw Jerzy Lec

En présence d'une réalité extraordinaire, la conscience prend la place de l'imagination.

Wallace Stevens

La suprême sagesse en face de Dieu, c'est de prendre une feuille blanche, de signer son nom en bas, puis de la présenter à Dieu pour qu'il y écrive ce qu'il veut.

Yves de Montcheuil