Nul n'est sage à moins d'être heureux.
Augustin d'Hippone
Oindre. Graisser un roi ou tout autre dignitaire à l'épiderme déjà suffisamment glissant.
Ambrose Bierce
Mieux vaut, pour les enfants, des parents séparés que spectaculairement désunis, mais on peut toujours espérer, avec l'action bénéfique du temps, en une lassitude des amants donnant une nouvelle stabilité au mariage.
Anne Bernard
... pas plus qu'on ne raisonne le besoin de manger ou dormir, on ne doit justifier le besoin d'être seul.
Christian Bobin
Parents : Toujours désagréables. Cacher ceux qui ne sont pas riches.
Gustave Flaubert
C'est la morale qui crée le mal, pas l'inverse.
Jean-Christophe Grangé
Je t'aime passionnément... et je t'aime paisiblement... peut-être est-ce cela l'amour éternel, ce mélange de paix et de feu.
Julie Maroh
Le voyage que nous faisons en tant qu'acteurs est intéressant et parfois révélateur.
Kevin Spacey
"Vente aux enchères : Mode de vente dont le principe est ""renchérira bien qui renchérira le dernier"""
Marc Escayrol
Le Cleenewerck du XVIIe siècle a dû s'inquiéter en voyant monter autour de Cassel la fumée des bombardes de Monsieur, frère du roi, combattant le prince d'Orange.
Marguerite Yourcenar
Qui pleure là, sinon le vent simple, à cette heure - Seule, avec diamants extrêmes ? Mais qui pleure, - Si proche de moi-même au moment de pleurer ?
Paul Valéry
Si ne pas renverser le château de sable de son sommeil signifie mourir de chaud alors je veux bien mourir de chaud
Pauline Delabroy-Allard
On a toujours assez vécu, quand on a eu le temps d'acquérir l'amour des femmes et l'estime des hommes.
Pierre Choderlos de Laclos
L'ambition de faire le bien est la seule qui compte.
Robert Baden-Powell
Des copeaux de crayon donnaient un parfum de bois à tout le cartable. Et il y avait encore la chimie du corrector (produit rouge, produit blanc).
Robert Sabatier
La caravane, lentement, chemine ; les hommes cramponnés à leur selle ne parlent plus. Bercée au pas égal et balancé de ta monture, tu t'abandonnes, mieux aimée, te laissant délicieusement pénétrer de l'universel embrasement...
Théodore Monod