Citation de Bernard Berrebi

Misogyne : un homme qui, lorsqu'il embrasse une femme sur les lèvres, serre les dents.... - Bernard Berrebi

Misogyne : un homme qui, lorsqu'il embrasse une femme sur les lèvres, serre les dents.

Bernard Berrebi

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Il ne faut pas faire la guerre aux pauvres, mais à la pauvreté.

Abbé Pierre

La créativité consiste à voir ce que les autres voient et à penser ce que personne n'a jamais pensé.

Albert Einstein

Adoum reste plié en deux de rire, parce qu'un de nos pagayeurs, pris de peur et voulant reculer, a buté contre une souche et roulé à terre.

André Gide

Le réel est apparence ; et autre chose existe, qui n'est pas apparence et ne s'appelle pas toujours Dieu.

André Malraux

La réussite n'est souvent qu'une revanche sur le bonheur.

Bernard Grasset

Pour rentrer chez vous, une seule adresse : la vôtre !

Francis Blanche

Vous avez la bouche pleine de formules généreuses, mais votre coeur est souillé par toutes sortes de basses sottises.

Georges Duhamel

Chaque jour, le prix de tous les articles nécessaires à la vie s'élevait quelque peu.

Georges Duhamel

Eclats de voix expression juste : car plus on parle, plus on risque de blesser. Le sourire et le regard sont les deux gardiens de la parole.

Gilbert Cesbron

Prends pour te connaître Le temps qu'il faudra... Rien qu'à te connaître Tu voyageras

Gilles Vigneault

Les paysannes sont comme les fleurs des champs : sous le nez, ça ne sent rien, ou ça sent mauvais.

Jules Renard

La morale purement humaine a été traitée plus utilement et plus habilement par les anciens, qu'elle ne l'est maintenant par nos philosophes.

Luc de Clapiers

Si vous voulez être quelqu'un d'important... très bien. Si vous voulez être reconnu... très bien. Si vous voulez être formidable... très bien. Tout ce qu'il vous faut, c'est un coeur empli de grâce. Une âme faite d'amour.

Martin Luther King

Chacun tient à son vin, et où qu'on aille, c'est toujours la même histoire.

Pline l'Ancien

A parler franc, l'homme méprise la femme qui se donne à lui ; il a le goût de la lutte, du combat ; il aime enlever la femelle de vive force, et l'orgueil de la victoire le dispose au sentiment durable de l'amour.

René Boylesve