Citation de Bernard Werber

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Du passé nous ne connaissons que la version des vainqueurs. Et dans tous les cas les quelques talents prêtés aux vaincus ne sont là q... - Bernard Werber

Du passé nous ne connaissons que la version des vainqueurs. Et dans tous les cas les quelques talents prêtés aux vaincus ne sont là que pour glorifier le mérite de ceux qui ont su les anéantir.

Bernard Werber

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Beaucoup de simagrées dans tout cela. Mon contentement de les revoir est vif, mais je le joue, et mon rire est de complaisance.

André Gide

C'est trop idéaliste... et, de ce fait, cruel.

Fiodor Dostoïevski

La Bêtise ne consiste pas à n'avoir pas d'idées ; cela, c'est la Bêtise douce et bienheureuse des animaux, des coquillages et des dieux. La Bêtise humaine consiste à avoir beaucoup d'idées, mais des idées bêtes.

Henry de Montherlant

On nous a donné le sommeil pour nous reposer de vivre avec nous-mêmes.

Jacques Deval

La comédie est écrite pour triompher de la peur de la mort.

Jacques Nichet

Est-ce que je me trompe ... si je me crois plus grand quand j'agis seul ?

Jean Giono

On ne gouverne bien et on ne commande bien qu'à des gens qu'on insulte librement ; qu'à des gens à qui l'on ne doit rien et vis-à-vis desquels on n'a pas à se sentir obligé.

Jean-Michel Wyl

M. Ampère n'a qu'un moyen d'être Tacite, c'est de se taire.

Jules Barbey d'Aurevilly

Je me maquille très peu.

Mélanie Doutey

Dès que l'adulte tue le mythe de l'existence du père Noël, il oublie le miracle du vrai partage qui existe dans le coeur de l'enfant.

Michel Bouthot

Les hommes tombent facilement amoureux, et aussi facilement ils vous laissent tomber.

Milan Kundera

Une grande idée a besoin de sacrifices.

Pavlo Tytchyna

Quand la pensée humaine est tortueuse, labyrinthique, détournée, quand les mots expriment toujours le contraire de ce que l'on pense, le sens et l'effet de la formule du code informatique sont parfaitement identiques.

Pierre Ducrozet

On ne sait pas pourquoi une idée vient se ficher dans votre tête.

Pierre Jolivet

La douce chaleur de son corps me pénétrait à travers ses habits et les miens ; mille ruisseaux magnétiques rayonnaient autour d'elle ; sa vie tout entière semblait avoir passé en moi.

Théophile Gautier