Citation de Bernhard Schlink

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Je voulais assumer les deux, la compréhension et la condamnation. Mais les deux ensemble, cela n'allait pas.... - Bernhard Schlink

Je voulais assumer les deux, la compréhension et la condamnation. Mais les deux ensemble, cela n'allait pas.

Bernhard Schlink

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J'ai un attachement très ancien et très fidèle pour les chiens. Je les aime parce qu'ils pardonnent toujours.

Albert Camus

Eh ! qu'as-tu ? Elle pâlit, elle tombe, au secours ! Mais je suis dans un désert ! O mon Dieu ! son coeur ne bat plus. Elle est morte ! Est-ce possible ? Encore une victime du Père Ubu.

Alfred Jarry

Quand on aime, on parle dans sa tête à l'être aimé.

Amélie Nothomb

Les gens sont toujours au bord des révélations mais, au final, ils veulent rien lâcher, font plein de manières. Et parfois ils y tiennent plus, ça suinte tout seul. Faut saisir l'occasion, recueillir les bribes, reconstituer.

Chloé Schmitt

On ne saurait être l'homme de sa spécialité que si l'on est aussi sa victime.

Friedrich Nietzsche

Hercule : Les Hercules sont du Nord.

Gustave Flaubert

Les hommes commencent à deviner que leur destin est de disparaître dans l'avenir comme ils ont disparu dans le passé. Et ils se demandent ce qu'ils font là.

Jean d'Ormesson

Je ne vous jette pas la pierre, Pierre, mais j'étais à deux doigts de m'énerver !

Jean-Marie Poiré

L'Europe doit respirer avec ses deux poumons : celui de l'est et celui de l'ouest.

Jean-Paul II

On ne s'interroge pas sur la "loi de causalité" ou les "formes a priori de la sensibilité" quand on reçoit son premier baiser.

Jostein Gaarder

Si le ciel nous tombe sur la tête, il écrasera tout le monde.

Lao She

Son attention précise et autrefois assez sévère flottait à présent entraînée vers de fabuleuses, interminables digressions.

Louis-Ferdinand Céline

La mort, c'est comme une compétition ou chacun espère arriver le dernier.

Maurice Chapelan

Singulièrement, il semble qu'il y ait plus de morues à Deauville que dans tous autre port de pêche.

Michel Galabru

Un bon auteur, c'est un auteur qui ne se voit pas. Ce sont les personnages qui comptent. Que les gens se souviennent des personnages, d'une histoire, et pas du nom de l'auteur, c'est très bien. J'écris comme je regarde un feuilleton à la télé, en me demandant ce qui se passera demain.

Pascal Garnier