Citation de Bernhard Schlink

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Elle se disait qu'en amour on n'est pas à la disposition l'un de l'autre, mais qu'on est un cadeau, et qu'on pouvait être un cadeau... - Bernhard Schlink

Elle se disait qu'en amour on n'est pas à la disposition l'un de l'autre, mais qu'on est un cadeau, et qu'on pouvait être un cadeau l'un pour l'autre aussi par lettres.

Bernhard Schlink

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Mon plus grand point est ma persistance. Je n'abandonne jamais dans un match.

Bjorn Borg

Comment pourrait-elle donc comprendre que rien ne pourrait jamais me décevoir, puisque je n'attends plus rien ?

Bret Easton Ellis

Y a-t-il dans chaque famille un récipiendaire des secrets et des aveux, des oublis et des remords ? Ne peut-on glisser dans un puits ses secrets sans peur qu'ils remontent un jour ?

Capucine Ruat

Etre rêveur et infantile, c'est important.

Christophe Lambert

Tout homme qui est un peu spécialiste est, dans le sens strict du mot, un idiot.

George Bernard Shaw

Le gouvernement le meilleur est celui qui gouverne le moins.

Henry David Thoreau

L'amour a le travail et la misère en horreur. Il aime mieux mourir que de vivoter.

Honoré de Balzac

Le génie, c'est réaliser la prouesse de se trouver un public alors qu'on n'est pas exagérément doué.

Jean-Marie Poupart

Imaginez des corps lumineux et voyants. Tels sont les esprits qu'on appelle ingénieux. Il sort d'eux des rayons qui, en tombant sur les objets qu'ils examinent, les leur font voir plus clairement.

Joseph Joubert

- Je suis né un trente janvier. - Vous ne paraissez pas votre âge.

Jules Renard

Il faut qu'en premier lieu, tu observes tes propres défauts et les qualités d'autrui plutôt que le contraire.

Levi Yitzhok de Berditchev

Israël a fait de l'hébreu la langue de la haine... Le judaïsme ne méritait pas un tel sort.

Michel Rachline

C'est avoir dans une certaine mesure une sorte d'esprit pour savoir utiliser l'esprit des autres.

Stanislas Leszczinski

La télévision rend intelligent les gens qui n'ont pas accès à la culture et abrutit ceux qui se croient cultivés.

Umberto Eco

La réaction de panique des peuples primitifs devant toute capture de leur image peut prêter à sourire. Ce sentiment d'être piégé dans une représentation trompeuse, une version réductrice de soi, un cliché grotesque et grimaçant, je le comprends pourtant mieux que personne. S'emparer avec une telle brutalité de l'image de l'autre, c'est bien lui voler son âme.

Vanessa Springora