Mais malheur à celui qui est seul et qui tombe, sans avoir un second pour le relever.
Bible
J'ai dépensé ma vie : il ne me reste plus un sou pour une mort décente.
Alain Bosquet
Une femme doit être assez cultivée pour séduire les hommes stupides et assez vulgaire pour plaire aux hommes intelligents.
André Gillois
Ne dites jamais à votre ordinateur que vous êtes pressés !
Anonyme
Que tu lui donnes un crayon Et l'enfant bâtit sa maison.
Claude Nougaro
S'il suffisait De tendre la main Comme on tend l'oreille.
Eugène Guillevic
Dieu ne s'est incarné qu'une seule fois, dans le Christ, pour s'offrir en victime aux hommes. Le diable s'est incarné d'innombrables fois, en une quantité de personnes et de formes, et toujours aux dépens et à la honte des hommes.
Giovanni Papini
Vous n'avez pas compris ce que nous faisons. A la place de nous dire merci, faites quelque chose !
Greta Thunberg
Ainsi qu'il advint ordinairement en telles extremitez de destresse, il leur sembloit toujours le plus seur de fouir du lieu où ilz se trouvoient.
Jacques Amyot
Pour être équilibré, votre projet l'est : 50% d'inapplicable, 50% d'inacceptable.
Laurent Fabius
Qui vit à l'étranger marche dans un espace vide au-dessus de la terre sans le filet de protection que tend à tout être humain le pays qui est son propre pays.
Milan Kundera
J'ai toujours cru que le poète et le romancier donnaient du mystère aux êtres qui semblent submergés par la vie quotidienne, aux choses en apparence banales.
Patrick Modiano
Il n'y a rien de plus inutile que de faire avec efficacité quelque chose qui ne doit pas du tout être fait.
Peter Drucker
Quand je lis un scénario, je me vois parfaitement jouer tel ou tel personnage. Ce n'est pas toujours facile de choisir… Le point de vue du metteur en scène est aussi très important. Il faut le rencontrer, discuter avec lui de la manière dont il imagine le rôle. J'ai besoin d'être convaincue par la personne en face de moi.
Sophie Marceau
La sentimentalité en général, c'est cela qui est épouvantable, est aujourd'hui la grande mode.
Thomas Bernhard
La conscience, c'est le chaos des chimères, des convoitises et des tentations, la fournaise des rêves, l'antre des idées dont on a honte ; c'est le pandémonium des sophismes, c'est le champ de bataille des passions.
Victor Hugo