La moisson est abondante, mais les ouvriers sont en petit nombre, priez donc le maître de la maison d'envoyer des ouvriers pour sa moisson.
Bible
Les pèlerins ne sont ni des randonneurs ni des touristes ; ils n'achètent rien, ils n'emportent rien ; ils passent en traçant un sillon éphémère dans l'imagination des sédentaires... Ils ne servent à rien sinon de relais mobiles à leurs messages pour le ciel.
Alix de Saint-André
L'amour, c'est la lumière au-dessus de l'obscurité.
Anonyme
Au fond, je suis très proche des gros cons dont je parle. Au partage, j'ai seulement un petit plus d'humour.
Coluche
La joie est en tout ; il faut savoir l'extraire.
Confucius
Quelles que soient les circonstances, chaque citoyen doit pouvoir exprimer ses convictions et revendications à l'abri de toute violence et de toute pression. La France est un pays d'ordre et de liberté, pas de violence gratuite et d'arbitraire.
Emmanuel Macron
Celui emportoit le prix, non qui estoit le plus viste entre les vistes, mais le plus vertueux entre les vertueux.
Jacques Amyot
Citoyen du monde, comme j'ai la prétention de l'être.
James Boswell
Ai-je menti en vous disant que je mentais ou en vous disant que je ne mens pas. Un menteur ! Moi ? Au fond je ne sais plus. Je m'embrouille. Quelle drôle d'époque. Suis-je un menteur ? Je vous le demande ? Je suis plutôt un mensonge. Un mensonge qui dit toujours la vérité.
Jean Cocteau
Il (M. de Voltaire) donna à cet abbé Gaultier, qui la lui demanda, une profession de foi écrite tout entière de sa propre main, et par laquelle il déclare qu'il veut mourir dans la religion catholique où il est né.
Jean Le Rond d'Alembert
Je préfère sortir avec une femme de 20 ans plutôt qu'a-vec une ado de 60 ans.
Jean-Luc Lahaye
Contrairement à ce que prétend Luis Mariano, Mexico ne prend qu'un seul "i".
Patrick Sébastien
Quand on est aimé, on s'aime plus.
Sophia Sida
Si je suis croyant ? Dieu seul le sait.
Stanislaw Jerzy Lec
L'amour est une tragi-comédie. Une pièce tragique écrite par des comiques.
Umar Timol
Il neigeait. L'âpre hiver fondait en avalanche.
Victor Hugo