Pour quelqu'un qui n'était pas fait pour ce monde, j'ai tout à coup du mal à le quitter. On dit que chaque atome de notre corps a fait partie d'une étoile. Peut-être que je ne pars pas. Peut-être que je rentre chez moi.
Bienvenue à Gattaca
Je suis comme eux, bien sûr, nous sommes dans le même bouillon. J'ai cependant une supériorité, celle de le savoir, qui me donne le droit de parler.
Albert Camus
L'homme qui ne ment qu'aux femmes n'est pas un véritable menteur : il est en état de légitime défense.
André Birabeau
Si la mort paraît effroyable aux riches, elle doit bien consoler les malheureux.
Antoine Gombaud
Si tu veux vaincre le monde, vaincs-toi toi même.
Fiodor Dostoïevski
Soyez triste et vous serez philosophe.
Gaston Bachelard
Et qui oserait dire que, pour ceux qui sont dignes de la joie, ce qui est nouveau ne soit pas beau ? Les autres se chargeront vite d'avilir cette nouveauté sublime, après quoi elle pourra entrer dans le domaine de la raison.
Guillaume Apollinaire
La guerre, le seul divertissement des rois où les peuples aient leur part.
Henri Jeanson
La seule chose dont on soit sûr, en ce qui concerne l'avenir, c'est qu'il n'est jamais conforme à nos prévisions.
Jean Dutourd
Les stylistes qui se prennent la tête, je trouve ça assommant, ridicule ; faire des robes, c'est important, mais ce ne sont que des robes. On n'est pas Kierkegaard quand même !
Karl Lagerfeld
L'animosité, l'intolérance, le fanatisme ne favorisent jamais entre elles la bonne entente. Partout où vivent côte à côte des races différentes, la plus faible est vouée à l'oppression de la plus forte, conquérante ou usurpatrice.
Mariline
L'homme qui prie se place "devant la Face", se place dans l'accomplissement du mot principe sacré "Je-Tu" qui signifie mutualité active.
Martin Buber
qui aime l'arbre aime les feuilles
Molière
Vous serez fusillé avec des balles rouillées et vous mourrez du tétanos !
Serge Gainsbourg
J'ai changé la solitude en tristesse, voyez ! Je n'ai rien gagné ! Je n'ai eu aucun profit.
Sivi le poète
"Fortunio", qui date à peu près de cette époque, fut inséré d'abord au Figaro sous forme de feuilletons, qui se détachaient du journal et se pliaient en livre.
Théophile Gautier