Retrouver les indices de son passé, c'est recoller les morceaux du moi brisé.
Boris Cyrulnik
Lorsque vous accordez de l'importance à votre famille, vous allez toujours dans la bonne direction.
Amanda Seyfried
Quand on est heureux que le bonheur nous ai donné, on est tous incapable d'en profiter pleinement, de le savourer car au fond de nous, inconsciemment, il y a toujours cette crainte que tout ce que l'on possède nous échappe d'un instant à l'autre et nous laisse, seul.
Anonyme
La raison souvent n'éclaire que les naufrages.
Claude-Adrien Helvétius
La façon d'aimer une chose est de se dire qu'on pourrait la perdre.
G. K. Chesterton
L'Art, en de certaines occasion, ébranle les esprits médiocres ; et des mondes peuvent êtres révélés par ses interprètes les plus lourds.
Gustave Flaubert
Nous nous piquons à nos opinions avec d'autant plus de violence que nous les sentons plus discutées ou plus douteuses, les tenant ainsi pour certaines à proportion qu'elles ne le sont pas.
Jean Paulhan
L'or est d'un grand secours pour acheter un coeur : Ce métal, en amour, est un grand séducteur.
Jean-François Regnard
Si je vous fais rire, vous m'aimez plus, ce qui vous rend plus réceptif à mes idées. Et si je peux vous faire rire d'une chose que j'ai dite, comme vous en riez, vous en reconnaissez la vérité.
John Cleese
Le manteau de l'ange de la paix est très beau, mais la question est de savoir qui l'endossera ?
Jozsef Mindszenty
Tes yeux sont mon Pérou ma Golconde mes Indes.
Louis Aragon
Je ne crois pas être une ordure.
Mel Gibson
Que la vérité nous accompagne, toi et moi !
Mimnerme
L'enfer véritable, c'est de cesser d'aimer. Cet état d'enfermement et de solitude correspond à une aliénation profonde de l'identité humaine. L'existence entière devient une prison qui empêche toute relation vraie avec les êtres les plus proches.
Nathalie Sarthou-Lajus
Grasse cuisine, maigre testament.
Proverbe Français
Alors naquit l'esprit de galanterie, qui prépara l'anéantissement successif de toutes les passions et même de l'amour, au profit de ce tyran cruel auquel nous obéissons tous : la vanité.
Stendhal