Il n'est pire servitude que l'espoir d'être heureux.
Carlos Fuentes
Chacun sème son verger avec sa propre intelligence.
Abla Farhoud
La politique est comme la chasse, on entre en politique comme on entre dans l'association des chasseurs. La grande brousse où opère le chasseur est vaste, inhumaine et impitoyable comme l'espace, le monde politique.
Ahmadou Kourouma
Les livres ne se souciaient pas de leurs lecteurs, ni même de savoir s'ils étaient lus. Tout le monde était égal devant eux, y compris elle. La littérature est une communauté, les lettres sont une république.
Alan Bennett
Je suy cellui au cueur vestu de noir.
Charles d'Orléans
Les musées sont les endroits les plus vivants du monde. On dirait une concentration d'humanité.
Fernand Ouellette
Ici, c'est comme partout, il y a beaucoup de têtes creuses qui ont vite fait de se remplir de n'importe quoi, si possible du pire. C'est ce que tout le monde préfère, le pire. On s'ennuie tellement.
Fred Vargas
Il est des soins plus doux, un art plus enchanteur. C'est peu de charmer l'oeil, il faut parler au coeur.
Jacques Delille
Le premier s'embellit des vertus du passé.
Jean-François de Saint-Lambert
Et pour quelles raisons étranges, Les gens qui tiennent à leurs rêves, Ça nous dérange.
Michel Berger
En amour, contrairement à la politique, en général la prudence n'est pas une vertu.
Nelson Mandela
La plupart des institutions sociales paraissent avoir pour objet de maintenir l'homme dans une médiocrité d'idées et de sentiments qui le rendent plus propre à gouverner ou à être gouverné.
Nicolas de Chamfort
A qui le soleil luit, il ne s'enquiert pas des étoiles.
Proverbe Allemand
Jamais je n'avais rien perdu de précieux : lorsque les choses me quittaient, j'avais d'avance cessé d'y tenir.
Simone de Beauvoir
Celui qui est aimé est dépouillé, neutralisé, figé dans l'éclat de l'oeil intérieur de celui qui aime.
Toni Morrison
Une femme irritée est comme une fontaine troublée, boueuse, de vilain aspect, épaissie, dépouillée de beauté ; pendant qu'elle est ainsi, il n'est personne si altéré et au gosier si brûlant qui daigne y tremper ses lèvres ou boire une goutte de son eau.
William Shakespeare