La jeunesse est une maîtresse capricieuse. Nous sommes incapables de la comprendre et de l'apprécier jusqu'au jour où elle part avec un autre pour ne jamais revenir.
Carlos Ruiz Zafón
Pythagore a dit le premier : Mon ami est un autre moi-même. N'est-ce pas dire : Aime ton prochain comme toi-même.
Alfred de Vigny
Les deux peuples ont tant à gagner à s'entendre et tant à perdre à continuer le combat.
Arno Klarsfeld
Je sais pas ce qu'ils vont me demander, mais c'est sûrement d'aller jouer les ambassadeurs dans les pays pétroliers. Genre : Je suis l'Agneau de Dieu qui enlève les péchés du monde je vous donne la paix, laissez-nous le sous-sol.
Didier van Cauwelaert
Très jeune, grâce aux livres, j'avais compris que je ne serai jamais seul.
Guillaume Musso
Bientôt ils auront dévoré le monde. Alors ils connaîtront la faim...
Henri Dreyssé
Agir ! Toujours agir ! La bouffonnerie des actes. On laisse les actes à ceux qui ne sont capables de rien d'autre.
Henry de Montherlant
C'est beau, la vie. Quand on la retourne et qu'on la voit à fond, quand on voit ce qui est, il y a de quoi tomber à genoux. Ce qui est ! Ces trois syllabes ! La vie est certainement quelque chose d'extraordinaire. Plus extraordinaire que le génie.
La faveur que l'ode semble avoir perdue, l'épître paraît l'avoir gagnée.
Jean Le Rond d'Alembert
Douze mois sur douze, les aveugles sont dans l'année cécité
Marc Escayrol
Je vous ai regardés dormir un moment. Il est toujours miraculeux de regarder l'innocence dormir. Et, même si vous ne le croyez plus, vous êtes encore le miroir de cette innocence. Vous l'êtes encore, oui, même si vous avez maintenant du poil aux joues.
Paolo Giordano
J'étais une biographie en mouvement, une mémoire jusqu'à la moelle des os.
Philip Roth
Plus fort, plus haut, plus vite.
Pierre de Coubertin
Dieu règne au ciel, et l'argent sur la terre.
Proverbe Allemand
Quoique de fort noble naissance, il avait contracté sous le harnois plus qu'une habitude de soudard. La taverne lui plaisait, et ce qui s'ensuit.
Victor Hugo
Considérer l'amoureuse comme un mets des dieux, un gâteau. Manger le gâteau, s'en régaler, encore et toujours, ne plus en pouvoir. Se guérir du gâteau par l'écoeurement sensuel.
Yann Queffélec