Citation de Céline Belloq

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A quoi bon mettre tant de coeur, de foi, de soi, de sueur, d'intensité dans des aspirations qui, aujourd'hui, remplissent notre vie, m... - Céline Belloq

A quoi bon mettre tant de coeur, de foi, de soi, de sueur, d'intensité dans des aspirations qui, aujourd'hui, remplissent notre vie, mais constitueront demain de vagues souvenirs épars au milieu d'autres futilités ?

Céline Belloq

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Qu'un homme puisse prendre plaisir à marcher au rythme d'une fanfare militaire, suffit à me le rendre méprisable.

Albert Einstein

J'ai été mortellement triste : rien n'est plus ennuyeux qu'un continuel étonnement.

Alexandre Dumas

Vous savez ce que j'aime ? Vieillir. Avec l'âge, on se bonifie.

Cameron Diaz

Les habitudes de la vie pratique affaiblissent l'instinct de curiosité pure ; mais c'est une consolation pour l'amant.

Ernest Renan

Eviter la guerre, tel est donc le devoir de tout homme sage : mais si l'on doit en arriver là, ce n'est pas une couronne sans gloire qu'une belle mort pour la cité ; une mort sans beauté déshonore.

Euripide

La jeune fille avec laquelle il se trouvait avait l'air très intelligente. Surtout physiquement.

Fabrice Colin

Un footballeur joue avec ses pieds, parfois avec sa tête. Un joueur d'échecs ne joue qu'avec sa tête. Et quand il ne joue plus, il meurt.

Jacob Murray

Ilz s'amasserent en grosse trouppe, et s'en allerent dans la riviere.

Jacques Amyot

La fusion des races a commencé dès les âges préhistoriques. Le peuple français est un composé. C'est mieux qu'une race. C'est une nation.

Jacques Bainville

Aucune civilisation n'a duré quand elle acceptait la fracture sociale des exclus.

Jacques Chirac

L'absence, la mort. La mort est une absence qui dure.

Jean Anglade

On ne peut être aimé à tout âge, mais à tout âge on peut aimer, et l'on a toujours des raisons de le faire.

Pierre-Marie Quitard

A la Saint-René, - Couvre ton nez !

Proverbe Français

Il décrétait le temps qu'il fera demain. Il auscultait le vent, il tâtait le pouls à la marée.

Victor Hugo

À certaines offres les filles, par modestie, disent un non qu'elles voudraient qu'on prit pour un oui.

William Shakespeare