Mais le vert paradis des amours enfantines, - Les courses, les chansons, les baisers, les bouquets, - Les violons vibrant derrière les collines, - Avec les brocs de vin, le soir, dans les bosquets...
Charles Baudelaire
Je n'ai écrasé personne pour arriver où je suis aujourd'hui.
Anne-Sophie Lapix
Les vieillards ont parfois de ces absences troublantes qui les rapprochent des fantômes.
Denys Chabot
On naît dans les pleurs ; on devrait crever dans un fou rire.
Dominique Noguez
Alors ne vous préoccupez pas des résultats de vos actions, accordez simplement votre attention à l'action elle-même. Le résultat arrivera de lui-même.
Eckhart Tolle
Qui comprend l'humanité recherche la solitude.
Hazrat Ali
Il est indispensable de se sacrifier quelquefois. C'est l'hygiène de l'âme.
Jean Cocteau
Souvenons-nous toujours, Français, que la patrie, chez nous, est née du coeur d'une femme, de sa tendresse, de ses larmes, du sang qu'elle a donné pour nous.
Jules Michelet
Qui ne se souvient comme moi de ces lectures faites au temps des vacances, qu'on allait cacher successivement dans toutes celles des heures du jour qui étaient assez paisibles et assez inviolables pour pouvoir leur donner asile ?
Marcel Proust
Tu nous conduis au cadavre tout de suite ou en rentre. Et après, c'est le procès et la bonne petite décharge de jus de Jésus qui t'attend. Pigé ?
Michael Connelly
Il n'y a pas de sots métiers, c'est entendu... Mais il y a ceux qu'on laisse aux autres.
Miguel Zamacoïs
Dans le ciel très couvert, très épais, il y avait çà et là des déchirures, comme des percées dans un dôme, par où arrivaient de grands rayons couleur d'argent rose.
Pierre Loti
Les paroles les plus douces ont moins de prise sur les femmes que les bijoux silencieux.
Proverbe Africain
La mort engloutit l'homme, elle n'engloutit pas son nom et sa réputation.
Rien de meilleur à l'homme, que de se taire.
Proverbe Juifs
Il n'y avait aucune raison, parce qu'on supprimait la peine de mort, d'aggraver le régime des condamnations à perpétuité. ... c'était accomplir le voeu formulé par Victor Hugo en 1848 : L'abolition doit être pure, simple et définitive.
Robert Badinter