Citation de Charles Dufresny

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Je pardonne aux ouvrages sérieux qui me font rire ; mais comment tirer parti de ces comiques qui vous attristent ?... - Charles Dufresny

Je pardonne aux ouvrages sérieux qui me font rire ; mais comment tirer parti de ces comiques qui vous attristent ?

Charles Dufresny

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Aimer, c'est se donner corps et âme.

Alfred de Musset

Quand l'homme relevé de la plus vieille tombe Ecartera la ronce et les fleurs du hallier, Quand il remontera le vétuste escalier Où le pied du silence à chaque pas retombe.

Charles Péguy

Fais ce que lu sais être honnête, sans en attendre aucune gloire ; n'oublie pas que le vulgaire est un bien mauvais juge des bonnes actions.

Démophile

Je suis personnellement un modéré et un indépendant enregistré, donc je ne suis pas fortement démocrate ou fortement républicain.

Elon Musk

Le sarcasme creuse un fossé entre soi-même et les autres.

Gayle Forman

Beaucoup d'effets visibles restent incompréhensibles parce qu'ils constituent l'extériorisation de causes invisibles, inaccessibles.

Gustave Le Bon

Le temps pèse sur toi comme un vieux rêve au sens multiple. Tu continues à avancer pour traverser ce temps. Mais tu auras beau aller jusqu'au bord du monde, tu ne lui échapperas pas.

Haruki Murakami

Je collectionne les anges et mon mari les têtes de mort. Son côté sombre m'équilibre.

Laeticia Hallyday

La réponse est le malheur de la question.

Maurice Blanchot

Sous le nom d'eider, les cygnes aidèrent à l'édredon. Et cela ne lui va pas mal. On appelle hommes-cygnes ou hommes insignes les hommes qui ont le cou long comme Fénelon, cygne de Cambrai. Etc.

Max Jacob

On pénètre dans la salle de bains, Et c'est la vie qui recommence On n'en voulait plus, du matin, Seul dans la nuit d'indifférence.

Michel Houellebecq

J'ai toujours le dessus quand je discute seul.

Oliver Goldsmith

Beau septembre - Emplira les chambres.

Proverbe Français

Vous avez dans Paris un Hôtel-Dieu où règne une contagion éternelle, où les malades entassés les uns sur les autres, se donnent réciproquement la peste et la mort.

Voltaire

Dieu fit la douce illusion - Pour les heureux fous du bel âge ; - Pour les vieux fous, l'ambition, - Et la retraite pour le sage.

Voltaire