Citation de Christian Bobin

← Précédent Suivant →
La comète de l'amour ne frôle notre coeur qu'une fois par éternité. Il faut veiller pour la voir. Il faut attendre longtemps, longte... - Christian Bobin

La comète de l'amour ne frôle notre coeur qu'une fois par éternité. Il faut veiller pour la voir. Il faut attendre longtemps, longtemps, longtemps.

Christian Bobin

Toutes les citations de Christian Bobin →

Explorer les Citations

C'est le devoir de chaque homme de rendre au monde au moins autant qu'il en a reçu.

Albert Einstein

Le plus grand danger que courent les gens qui sont habituellement un peu fous, c'est de le devenir tout à fait par instants.

Alfred de Musset

... L'imagination et le recueillement sont deux maladies dont personne n'a pitié.

Alfred de Vigny

L'imagination ne peut rendre sages les fous, mais elle les rend heureux à l'envi de la raison qui ne peut rendre ses amis que misérables, l'une les couvrant de gloire, l'autre de honte.

Blaise Pascal

La morale et l'éthique sont l'apanage des faibles.

Camara Nangala

Celui qui t'entretient des défauts d'autrui entretient les autres des tiens.

Denis Diderot

Pour se sauver il n'y a qu'un moyen : sacrifier sa réputation.

Francis Picabia

Une pierre ne suffit pas à faire un mur.

Franz-Olivier Giesbert

Le monde n'a pas besoin qu'on y mette de l'ordre ; le monde est ordre, incarné. C'est à nous de nous harmoniser avec cet ordre.

Henry Miller

L'oubli profond où sont tombés ces traits méprisables, lancés contre un grand homme...

Jean Le Rond d'Alembert

Tourmenté longtemps sans savoir de quoi, je dévorais d'un oeil ardent les belles personnes...

Jean-Jacques Rousseau

La confidence est contagieuse...

Lucile Vallières

J'ignore si les grandes époques font les grands hommes, mais je sais qu'elles les tuent.

Max Brooks

J'étais dans une apesanteur de fin d'histoire d'amour, la brusque suspension des sentiments, une sorte de vertige que donnent le détachement, la distance, une appréhension différente du temps.

Michèle Lesbre

Il n'y a rien de plus ennuyeux que l'utopie.

Philippe Curval