Citation de Christophe André

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Les forts croient que les sensibles sont faibles, et ils sont tout surpris quand ils découvrent que non ; ils cherchent juste... - Christophe André

Les forts croient que les sensibles sont faibles, et ils sont tout surpris quand ils découvrent que non ; ils cherchent juste à être tranquille, mais savent aussi monter au front avec une vigueur d'autant plus efficace qu'elle est inattendue.

Christophe André

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Exempt de tout fanatisme, je n'ai point d'idole. J'ai lu, j'ai vu, je pense et j'écris seul, indépendant.

Alfred de Vigny

L'amour, cette lampe que l'on déplace pour trouver une ombre nouvelle.

Daniel Boulanger

L'athéisme en France est une religion et l'anticléricalisme une église.

Emmanuel Berl

Nègres : S'étonner que leur salive soit blanche et de ce qu'ils parlent français.

Gustave Flaubert

Le timide peut donner l'impression d'une personne que son corps gêne, et qui cherche autour d'elle un endroit où le déposer.

Henri Bergson

Quand les Américains ont arrêté de fumer, leur culture a décliné. Il va se passer la même chose en France.

Henri Fouquet

Là où du Nil l'un des bras creux et large Près de Canobe en la mer se descharge.

Jacques Amyot

... le réel était une des virtualités du rêve.

Jorge Luis Borges

Bien écrire, c'est comme marcher droit.

Louis Aragon

Nous sommes, par nature, si futiles, que seules les distractions peuvent nous empêcher vraiment de mourir.

Louis-Ferdinand Céline

Si ton ami est de miel, ne le mange pas tout entier.

Proverbe Arabe

Ceux qui digèrent le mieux leurs pensées afin de les rendre claires et intelligibles peuvent toujours le mieux persuader de ce qu'ils proposent.

René Descartes

Le dernier mot n'existe pas en politique, vous le savez bien.

Romain Gary

Je me demande chaque jour ce que je suis venu faire sur terre. Vivre n'est pas une solution qui résout le problème.

Sim

On lui avait à jamais appliqué le rire sur le visage. C'était un rire automatique, et d'autant plus irrésistible qu'il était pétrifié. Personne ne se dérobait à son rictus.

Victor Hugo