Je crois que la création doit demeurer d'une certaine façon opaque. Si on veut être entièrement transparent à soi, translucide, je crois que la création est foutue.
La parole mauvaise est comme un arbre mauvais ; elle est à fleur de terre et n'a point de stabilité.
Le poète, lui, pense toujours à autre chose. L'insolite lui est familier, la préméditation inconnue.