Il y a des domaines où il n'y aura jamais de progrès : l'homme sera toujours mortel, il sera toujours soumis à la maladie. Quant au progrès historique, c'est-à-dire la diminution de la violence, je ne le nie pas tout à fait mais j'aurai un peu la prudence de Kant sur ce point : les choses n'iront pas vite