Je remplace la mélancolie par le courage, le doute par la certitude, le désespoir par l'espoir, la méchanceté par le bien, les plaintes par le devoir, le scepticisme par la foi, les sophismes par la froideur du calme et l'orgueil par la modestie.
Comte de Lautréamont
Vous devez apprécier votre travail ; Vous devriez vous réveiller tous les jours et aimer ce que vous faites...
Aaliyah
Blâmer m'ennuie.
André Pieyre de Mandiargues
Mon nombril reste ma plus belle cicatrice, il me rappelle que j'étais attaché à ma mère avant même de vivre.
Anonyme
Difficile d'entendre qui on aime, tellement on l'aime.
Christian Bobin
C'est une amphore que l'on a commencé à faire ; la roue tourne. - Pourquoi en sort-il une cruche ?
Horace
L'homme, à toutes les époques et dans tous les siècles, se ressemble, il a les mêmes passions, il raisonne et il se comporte de la même manière dans les mêmes cas. C'est le point capital. Hors de là, il n'y a qu'erreur et fantaisie.
Jacques Bainville
C'est une véritable expérience physique que le plaisir de l'odeur brute, une expérience d'où la pensée se fait absente.
Jean-Claude Ellena
C'est incroyable comme dans les grandes peines l'esprit humain se raccroche aux plus futiles consolations.
John Cleland
Toute la laideur morale de l'individu paraissait, résumée dans son nez que la nature avait éffilé en bec d'oiseau.
Julien Green
Celui qui a inventé le bateau a aussi inventé le naufrage.
Lao Tseu
Mais on ne se réveille pas vieux un beau matin, on le devient, et pour s'y préparer, on a le temps nécessaire. On n'a pas été pris par surprise, pourquoi jouer les étonnés ?
Marie-Sabine Roger
Le but du jeu : le but du jeu du partage du surplus est de partager le surplus le moins possible.
Paul Jorion
L'âge est rassurant qui m'aura délivré de ma vieille peur de mourir jeune.
Philippe Bouvard
Sans considération, la science languit.
Proverbe Anglais
Le langage est une peau : je frotte mon langage contre l'autre. Comme si j'avais des mots en guise de doigts, ou des doigts au bout de mes mots. Mon langage tremble de désir.
Roland Barthes