Citation de Daniel Desbiens

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Nous sommes des "éponges" qui, à tout âge, absorbons les émotions et épousons les comportements et les attitudes de notre entourage... - Daniel Desbiens

Nous sommes des "éponges" qui, à tout âge, absorbons les émotions et épousons les comportements et les attitudes de notre entourage immédiat.

Daniel Desbiens

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Seule l'éternité est réelle, le temps fini n'est qu'une apparence.

Céline Belloq

Les fleurs attirent les abeilles, Mais ne butinent que le ciel.

Charles de Leusse

Etre heureux, c'est être si occupé qu'on n'a pas le temps de se demander si on l'est.

Claude Courchay

Nous ne sommes jamais responsable de ce qui arrive aux autres. Nous pouvons cependant être l'occasion qui leur fait vivre une situation dont ils ont besoin sur la voie de leur évolution.

Claudia Rainville

Si brefs que fussent ses passages dans les établissements qui le renvoyaient, il y décrochait les meilleurs résultats toujours, et quittait la place en laissant les professeurs ébahis.

Daniel Pennac

Deux mondes il y a. Celui des formules, formulettes, charades et paraboles et celui de ce qui se passe à tous moments ici-bas pour qui veut aider les autres.

Fernand Deligny

La passivité est l'attribut majeur de la féminité.

Helene Deutsch

Plus la direction est nombreuse, plus la société est décadente.

James Goldsmith

Quel qu'eût été le motif de son changement de religion, elle fut sincère dans celle qu'elle avait embrassée.

Jean-Jacques Rousseau

Le requin qu'on ne voit pas est toujours plus dangereux que celui qu'on voit.

Jeffery Deaver

Alors j'ai compris que l'homme le plus formidable qui se soit penché sur moi, ce n'est pas un homme.

Markus Zusak

Elle savait que le véritable amour se modifie avec le temps, grandit, et découvre de nouvelles manières de s'exprimer.

Paulo Coelho

Le pouvoir qu'on nous prête nous en donne.

Robert Mallet

... des yeux dont on eût dit que la pupille respirait.

Sacha Guitry

Sous les flancs bien développés et d'une mollesse toute féminine, on devine les dentelés et les côtes, comme aux flancs d'un jeune garçon.

Théophile Gautier