Citation de Daniel Desbiens

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Ne laisse pas les grains de sable s'accumuler dans un engrenage ; ils pourraient en détruire tous les rouages.... - Daniel Desbiens

Ne laisse pas les grains de sable s'accumuler dans un engrenage ; ils pourraient en détruire tous les rouages.

Daniel Desbiens

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La vague a des envies de sable et l'arbre des envies d'oiseaux. Le vent seul le sait.

Alain Boudet

A chaque épisode de l'Afrique du Sud me correspond une femme.

André Brink

Souffrir dans son amour, c'est moins pénible que de souffrir dans sa dignité.

Anne Barratin

Le plus dur ce n'est pas d'avoir un homme dans son lit mais le même visage tous les jours en face de soi à table.

Charlotte Savary

Il n'y avait aucune réalité à filmer, il fallait la créer cette réalité, l'inventer.

Claude Lanzmann

L'absolu et le terminus de l'accomplissement, l'extrême de l'acheminement final... L'absolu ne connait pas le superflu...

Descrea

Tant qu'il y aura des guerres, le mot "évolution" n'existera pas. L'Homme se trouve toujours dans la préhistoire.

Dimitri Vallat

C'est parce que je suis juste-milieu que je voudrais voir le juste-milieu de Paris dans un autre état.

Honoré de Balzac

Dans les relations humaines, le tact est le maximum qu'on puisse atteindre. Vous me demanderez : et l'affection ? Oui, mais il faut la pratiquer avec tact.

Imre Kertész

L'on espère de vieillir et l'on craint la vieillesse ; c'est-à-dire l'on aime la vie et l'on fuit la mort.

Jean de La Bruyère

Jean Lapin allégua la coutume et l'usage...

Jean de La Fontaine

L'imagination est précieuse. Ne la perdez pas Ne perdez pas l'enfant en vous.

Marilyn Manson

Quiconque rêve d'une liberté sans limites et sans frein porte en soi le germe du fascisme, même s'il crie son antifascisme à tue-tête.

Maurice Schumann

Et puis j'écrivais à la main, j'avais besoin de la main, de la disposition des mots, des paragraphes sur une feuille blanche pour éprouver le rythme des phrases, la place des silences, le grain de la voix qui passe dans la page, main et voix liées.

Michel Le Bris

Le silence était comme un buvard dans lequel on avait peur d'entendre les mots s'enfoncer et disparaître.

René Barjavel