Citation de Dave Barry

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Nous ne savons pas où la révolution virtuelle nous entraîne, seulement que là ou nous arriverons, nous n'aurons pas assez de RAM.... - Dave Barry

Nous ne savons pas où la révolution virtuelle nous entraîne, seulement que là ou nous arriverons, nous n'aurons pas assez de RAM.

Dave Barry

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Châtie-toi, en châtiant, et tu sauras châtier les autres.

Archiprêtre de Hita

Pour que dans notre beau pays la liberté soit à tout le monde, il ne faut pas que n'importe qui s'en empare.

Bernard Haller

Dieu n'a pas voulu que nous fussions assez parfaits pour être toujours aimables, pourquoi voulons-nous être toujours aimés ?

Charles de Saint-Évremond

La vie me semble trop courte pour la passer à entretenir des ressentiments ou ressasser des griefs.

Charlotte Brontë

Je fais de la danse trois fois par semaine. Ça a été une révélation pour moi.

Claire Chazal

Quelqu'un que nous plaçons très haut nous devient plus proche quand il accomplit un acte indigne de lui. Par-là, il nous dispense du calvaire de la vénération. Et c'est à partir de ce moment que nous éprouvons à son égard un véritable attachement.

Emil Cioran

Le Royaume est à la fois l'arbre et la graine, ce qui doit advenir et ce qui est déjà là. Ce n'est pas un au-delà, plutôt une dimension de la réalité qui le plus souvent nous demeure invisible.

Emmanuel Carrère

Les gens réfléchissent trop à ce qu'ils doivent faire et trop peu à ce qu'ils doivent être.

Maître Eckhart

Le néant est une autre figure du sein maternel.

Marcel Mélançon

Il faisait tout à fait jour. Les dernières floches de brume avaient fondu dans l'espace blond.

Maurice Genevoix

Des pointes de branches, des jets de ronces leur égratignaient les mains.

Paul Nizan

À la queue gît le venin.

Proverbe Français

Tu peux faire tout ce que tu veux en ce monde, tant que tu ne causes de tort à personne.

Robin Cook

En réalité, je pense que, si la peur de faillir peut peut-être justifier mon inertie foncière et l'échec général de ma vie, ceux qui s'abstiennent éternellement n'ont pas plus de présence dans le réel que les morts.

Sylvain Trudel

Le courroux le plus grand n'a pas toujours pour cause L'injure la plus grande ; et très-souvent l'on voit Que ce qui ne saurait fâcher un homme froid, Nous attire la haine irréconciliable De celui dont l'humeur n'est pas aussi traitable.

Térence