Cet homme n'est que le second dans tous les genres.
Denis Diderot
Si quelqu'un vide sa bourse dans son cerveau, personne ne pourra la lui dérober.
Benjamin Franklin
Les riches sans sagesse sont-ils autre chose que porcs engraissés par le son ? Les pauvres qui ne comprennent rien, que sont-ils, sinon des ânes malheureux condamnés à porter la charge ?
Comenius
Converser pendant le sexe, c'est comme parler à un étranger ; les mots sont souvent répétés, les verbes abandonnés au profit d'une charade de gestes, et une feinte compréhension s'exprime dans un sourire.
David Gilbert
Le simple soldat n'est pas un soldat simple. Du moins sa simplicité, distincte du simplisme, n'est en rien affectée, contrairement à celle d'imposteurs habiles à déguiser leur pédantisme ou leur vanité.
Georges Elgozy
Il lui fut advis qu'une lyce asprement courroucée abbayoit contre lui, et que parmi son abboi elle jettoit une parole humaine.
Jacques Amyot
Ce roman (Télémaque), que Fénelon avait uniquement destiné pour le duc de Bourgogne, son élève, vit le jour par l'infidélité d'un domestique qui en avait pris une copie.
Jean Le Rond d'Alembert
Si quelqu'un pense que l'amour et la paix sont un cliché qui doit avoir été laissé dans les années soixante, c'est son problème. L'amour et la paix sont éternels.
John Lennon
Alea jacta est.
Jules César
La feinte la mieux ourdie pourra duper le plus pénétrant des hommes, mais le plus borné des enfants ne s'y laissera jamais prendre.
Léon Tolstoï
Dieu, cela signifie qu'il n'y a rien d'impossible.
Lév Chestov
Trop de gens parlent pour ne rien dire... Et je dis ça plutôt que de me taire.
Philippe Geluck
L'Histoire ne s'accélère pas, comme on le prétend, elle galope de plus en plus vite dans le déjà-vu le plus domestiqué, le déjà-pensé le plus somnambule. Nous sommes si fragiles qu'on nous ménage.
Philippe Muray
Qui fait mal, pense mal.
Proverbe Écossais
Il faut souffrir ou faire souffrir.
Proverbe Français
Le président a fait son décompte, et lui a prouvé qu'en vivant sobrement il en aurait encore de reste à son arrivée.
Voltaire