Citation de Denis Langlois

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"C'est vrai que..." est la phrase fétiche d'une société où l'on n'est sûr de rien et notamment des règles de grammaire.... - Denis Langlois

"C'est vrai que..." est la phrase fétiche d'une société où l'on n'est sûr de rien et notamment des règles de grammaire.

Denis Langlois

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Il n'y a pas de dignité possible, pas de vie réelle pour un homme qui travaille douze heures par jour sans savoir pourquoi il travaille.

André Malraux

Vous n'êtes pas saoul si vous pouvez vous allonger sur le sol sans vous tenir.

Dean Martin

Et vous pensez qu'il est tout à fait indifférent que nous soyons chrétiens ou païens ; que païens, nous n'en vaudrions pas moins ; et que chrétiens, nous n'en valons pas mieux.

Denis Diderot

Faut-il toujours dire la vérité ? - Dis-moi, serait-il utile que le soleil brillat toujours ?

Félix Bogaerts

Le coeur n'a jamais de rides. Il n'a que des cicatrices.

Francis Carco

L'écrivain qui n'a d'autre esprit que l'esprit de son siècle parvient rarement à la postérité.

Goswin de Stassart

Une grande carrière se mesure de nos jours au nombre des échecs.

Henri Jeanson

Tout est possible, du moment qu'on a assez de cran.

J. K. Rowling

Les rêves sont faits pour libérer les humains de leurs peurs ou de leurs désirs les plus secrets, pas pour les envahir.

Jean-Philippe Arrou-Vignod

L'homme était comme cire dans la flamme : la sueur lui suintait, il fondait. Par tous les pores de la peau, la sueur lui perlait.

Kōbō Abe

Pour maigrir, il paraît que le président Chirac fait du vélo d'appartement. - On se disait bien qu'il faisait du surplace.

Laurent Ruquier

La vertu humaine a besoin de champions et de martyrs.

Ralph Waldo Emerson

Il y a des gens comme ça, qui sont capables de s'esquinter la santé à faire semblant de travailler, beaucoup plus sûrement que s'ils travaillaient vraiment.

Thomas B. Reverdy

Ne vous dérangez pas, le temps ne fait que passer.

Vassilis Alexakis

Il avait, dit-on, goûté successivement toutes les pommes de l'arbre de l'intelligence et, faim ou dégoût, il avait fini par mordre au fruit défendu.

Victor Hugo