J'ai toujours aimé les fictions de fin du monde, j'en ai lu énormément quand j'avais 20, 30 ans. A mesure que je prenais conscience du réchauffement climatique, d'Ebola (...) ou du virus H1N1, je n'ai pu m'empêcher de penser que nous vivions dans un monde où l'apocalypse était possible.