Citation de Descrea

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Le vent a appris à l'homme qu'on pouvait voler, l'oiseau lui a montré comment et pour ceux qui ne comprenaient pas, ils se sont mis à voler... - Descrea

Le vent a appris à l'homme qu'on pouvait voler, l'oiseau lui a montré comment et pour ceux qui ne comprenaient pas, ils se sont mis à voler avec leurs mains. Rendez-moi mon portefeuille !!!

Descrea

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Durant les crises de dépression, que je n'ai que trop connues, pareilles à celles que je traversais alors, je prends honte de moi, me désavoue, me renie, et comme un chien blessé, longe les murs et vais me cachant.

André Gide

Le seul sport que je fais en ce moment, c'est parler trop vite et tirer des conclusions hâtives.

Carrie Fisher

Si c'est vers une plus grande réalité que nous nous tournons, c'est à une femme de nous montrer le chemin. L'hégémonie du mâle touche à sa fin. Il a perdu contact avec la terre.

Henry Miller

Oultre toutes ces raisons, plusieurs signes luy en promettoient bonne encontre.

Jacques Amyot

Penser contre a toujours été la façon la moins difficile de penser.

Jacques de Bourbon Busset

A quoi servirait-il d'avoir tant d'honnêtes gens dans le ministère si les gredins triomphent encore ?

Jean Le Rond d'Alembert

Elle me dédaignait, un autre l'abandonne.

Jean Racine

Ce héros est peut-être bien coupable de n'être pas allé plus haut dans la vertu, ce scélérat bien méritant de n'être pas allé plus bas dans le crime.

Jean Rostand

L'épargne est une magnifique réalité, spécialement quand nos parents l'ont pratiquée.

Mark Twain

Lorsque vous commencez à mentir, il devient chaque jour plus difficile d'avouer la vérité.

Mary Higgins Clark

Et par le pouvoir d'un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté.

Paul Éluard

Saint-Antoine ouvre - Le derrière des poules.

Proverbe Français

L'intelligence, c'est une certaine quantité de cellules et de connexions dans le cerveau.

Régis Tremblay

Nous disons un mot et nous anéantissons un homme, sans que cet homme anéanti par nous s'aperçoive, au moment où nous l'anéantissons d'un mot, qu'il a reçu un coup fatal, pensai-je.

Thomas Bernhard

Allez mon vieux, pense à moi. Ne m'oublie pas. Si tu m'oublies, je n'existe plus.

Velibor Colic