Nous les français, on aime crier pour le sport, la beauté du geste, pour se purger la bile. Un certain conflit est séduisant pour le piment qu'il injecte dans la relation et l'adrénaline qu'il suscite
Diane Ducret
Le Christianisme n'est pas homogène. Des filons d'optimisme traversent la masse rocheuse du pessimisme. Il n'est pas seulement la religion de la rédemption, mais aussi celle du royaume de Dieu.
Albert Schweitzer
On n'enlève jamais une toile d'araignée dans une cave, c'est que ça sert à attraper la vermine qui ferait piquer le vin !
Bernard Clavel
La mémoire, ce passé au présent.
François Chalais
Un mari de talent ne suppose jamais ouvertement que sa femme a un amant.
Honoré de Balzac
Elle (Christine) renonça à la Suède pour jamais, et revint à Rome, où elle passa le reste de ses jours mécontente et mal payée de ses anciens sujets.
Jean Le Rond d'Alembert
L'amour de la flatterie, chez la plupart des hommes, provient de la piètre opinion qu'ils ont d'eux-mêmes : chez les femmes, c'est le contraire.
Jonathan Swift
Les peintres peuvent toujours dirent que leur tableau est mal éclairé.
Jules Renard
Cette chose plus compliquée et plus confondante que l'harmonnie des sphères : un couple.
Julien Gracq
L'histoire est la véritable histoire naturelle de l'homme.
Karl Marx
Nous les entretenons des siècles passés, voyant que nous ne sommes plus du siècle présent.
Louis-Isaac Lemaistre de Sacy
Personne n'est sujet à plus de fautes que ceux qui n'agissent que par réflexion.
Luc de Clapiers
C'est effroyable le bruit d'un coeur qui se casse. Comme un oeuf près à éclore écrasé par un bulldozer en porcelaine.
Mathias Malzieu
Seule l'obscurité a le pouvoir d'ouvrir au monde le coeur d'un homme.
Paul Auster
Il faut, un jour d'énergie, prendre le livre que l'on tient pour ennuyeux, lui ordonner d'être, essayer de reconstituer l'intérêt qu'y a pris l'auteur.
Paul Valéry
Les mots sont des larmes qui ont été écrites. Les larmes sont des mots qui ont besoin de couler. Sans elles, aucune joie n'a d'éclat, aucune tristesse n'a de fin.
Paulo Coelho