Vous êtes possédé ou quoi ?
Dieudonné
Ah ! Si c'était un tremblement de terre ! Une bonne secousse et on n'en parle plus... on compte les morts, les vivants, et le tour est joué. Mais cette cochonnerie de maladie ! Même ceux qui ne l'ont pas la portent dans leur coeur.
Albert Camus
Les larmes sont noyées dans la tristesse de la pluie.
Anonyme
Il y a des centaines de manières de mal écrire ; toutes sont le résultat du manque de travail.
Antoine Albalat
Le génie égorge ceux qu'il pille.
Antoine de Rivarol
Le mari et la femme ne font qu'un. Et moi, quand je suis seul, je m'ennuie.
Conti
En soi, ce n'est pas si difficile : ce ne sont que des petites choses très simples que chacun de vous peut comprendre. Ce qui fait la complexité du problème, c'est le grand nombre de choses élémentaires qu'il faut appréhender !
Didier Hallépée
Il y a des gens qui veulent connaître la vérité et ceux qui préfèrent l'imaginer.
Donato Carrisi
C'était bon, c'était mauvais. Mais c'était réel, et c'est tout ce que vous avez.
Enrique Iglesias
Il y a dans l'homme quelque chose de supérieur à la langue, c'est la volonté.
Ernest Renan
Lorsqu'on regarde sa vie passée, on croit voir sur une mer déserte la trace d'un vaisseau qui a disparu.
François-René de Chateaubriand
C'était un de ces penseurs attentifs qui voient toujours un grain de sable avant une maison.
Georg Christoph Lichtenberg
À quoi bon se rebeller contre sa destinée, mon jeune ami ? L'existence de l'homme n'est qu'un soupir dans le tourbillon de l'éternité.
Jean Van Hamme
Elle ne comprend pas cet hédonisme de bon ton, cette obsession qui semble avoir gagné tout le monde du "bien boire" et du "bien manger". Elle a toujours aimé avoir faim. Se sentir fléchir, chavirer, entendre son ventre se creuser et puis vaincre, ne plus avoir envie, être au-dessus de ça. Elle a cultivé la maigreur comme un art de vivre.
Leïla Slimani
L'humour a longtemps été mon arme de défense, pour prendre le monde de biais et pas en pleine face.
Maria Pourchet
Côme ramena Agnès au château dans l'araignée de chasse, au trot de Bucéphale.
Paul Vialar