Citation de Dominique Blondeau

← Précédent Suivant →
Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.... - Dominique Blondeau

Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.

Dominique Blondeau

Toutes les citations de Dominique Blondeau →

Explorer les Citations

Celui-ci vaut celui-là : il n'y a de véritable supériorité que celle de l'intelligence et de la vertu.

Alexandre Dumas

Nous avons tous dans le passé un jour de bonheur qui nous désenchante l'avenir.

Aloysius Bertrand

Qu'est-ce que ça peut me foutre ? Ca me fout que je te nourris et que tu n'es qu'un propre à rien, un imbécile, un mal élevé.

Charles-Louis Philippe

L'éducation est le seul vaccin contre la violence.

Edward James Olmos

Pour surmonter les interdictions, on a dû inventer des mots "masques", cacher les faits derrière des euphémismes.

François d'Orcival

Le criminel n'est souvent pas à la hauteur de son acte : il le rapetisse et le calomnie.

Friedrich Nietzsche

L'idée fixe est aussi paralysante pour le cerveau que la crampe pour le muscle.

Grégoire Lacroix

Il est plus facile de se servir d'un fusil que de montrer du courage.

H. M. Tomlinson

Il se doubtoit fort que ses actes seroient beaux et glorieux, mais que, après avoir fleury peu de jours, ilz se feneroient et passeroient incontinent.

Jacques Amyot

La retraite est la hantise des parachutistes car ça leur fait un vide

Marc Escayrol

A Paris on est étourdi par le monde ; on ne connaît que les manières, et on n'a pas le temps de connaître les vices et les vertus.

Montesquieu

Rien de plus rare finalement que la volupté consciente. Celui qui sait, ne parle pas. Celui qui parle, ne sait pas.

Philippe Sollers

Le corps est l'atelier de l'âme où l'esprit vient faire ses gammes.

Pierre Dumoulin

Tombé le vent, tombées les voiles, Une infinie tristesse s'étend, Nos bouches seules brisent en parlant.

Samuel Taylor Coleridge

Sa drôlerie me semble obscure et ses obscurités drôles.

Vladimir Nabokov