Citation de Douglas William Jerrold

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Il y a deux sortes de lecteurs : ceux qui traversent les livres avec prudence et ceux qui, tout aussi prudemment, laiss... - Douglas William Jerrold

Il y a deux sortes de lecteurs : ceux qui traversent les livres avec prudence et ceux qui, tout aussi prudemment, laissent les livres les traverser.

Douglas William Jerrold

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Ses formes sveltes se transformaient à vue d'oeil en contours plus suaves et plus arrondis par l'adolescence.

Alphonse de Lamartine

Quand on attaque les autres, il faut accepter d'être attaqué. Ce qu'on n'accepte pas, c'est des fatwas, des menaces de mort ou qu'on envoie deux cocktails Molotov dans la rédaction de "Charlie"...

Cabu

La jalousie est l'amour-propre de la chair.

Etienne Rey

La seule richesse d'un fonctionnaire c'est sa réputation.

François Boussat

Ce qui est rationnel est effectif, ce qui est effectif est rationnel.

Georg Wilhelm Friedrich Hegel

Chateaubriand : Connu surtout par le beefsteak qui porte son nom.

Gustave Flaubert

Je crois en la religion de l'amour, - Où que se dirigent ses caravanes, - Car l'amour est ma religion et ma foi.

Ibn Arabi

Ces grappes de raisin qu'on trouve encore après la vendange et qui ont échappé à la diligence du vendangeur.

Jean-Baptiste Massillon

Nous glissions comme dans le fil d'un fleuve d'air froid que la route poussiéreuse jalonnait de vagues pâleurs.

Julien Gracq

Le théâtre est un endroit où la pensée humaine peut avancer, un endroit où l'homme qui entre, n'est pas le même que celui qui sort.

Michel Didym

Qui voit la figure humaine correctement ? Le photographe, le miroir ou le peintre ?

Pablo Picasso

Pourquoi les invités que l'on attend trop longtemps font-ils des débouchés triomphants, quand les voleurs de sieste ont des pudeurs de cloître au seuil de votre grille ?

Philippe Delerm

Dieu te garde d'un bon janvier.

Proverbe Français

Toute ma vie, je me suis sentie coupable parce que je sens qu'il y a cette différence entre mon apparence et ce que je ressens à l'intérieur.

Robert Redford

Maintenant, à l'approche de la quarantaine, j'essaie de contrôler un peu l'affaire. Si je ne veux pas que mon corps prenne son indépendance, il faudrait qu'entre lui et moi s'installe ce qu'on appelle communément "le sport" ! Chez moi, ce n'est pas une évidence.

Virginie Efira