... toute théorie, y compris scientifique, ne peut épuiser le réel, et enfermer son objet dans ses paradigmes.
Edgar Morin
Mon premier jour à Canal+, je m'en souviens à la fois douloureusement et de façon magique !
Alain De Greef
Une langue est faite pour exprimer le monde, il faut qu'elle s'enrichisse sans cesse pour coller au réel.
Alain Rey
Que sont les loisirs, dans une vie où le travail même est une détente ?
Amadou Koné
Ce tableau m'a coûté quinze ans d'efforts : un jour pour le faire et le reste pour le vendre.
Anonyme
La maturité des masses consiste en leur capacité de reconnaître leurs propres intérêts.
Arthur Koestler
La belle avance que de définir, nommer ou prévoir ce que l'ignorance me permet de tenir pour merveilleux !
Colette
La ruse ou la valeur sont les droits de la guerre.
Desforges
Seule la force impose une vérité, et la force n'a rien d'intellectuel, elle contraint avec ses armes, par la torture, par le chantage, par la peur, par le calcul des intérêts, elle oblige les esprits à s'entendre provisoirement sur une doctrine.
Éric-Emmanuel Schmitt
Et tenez-vous ensemble, mais pas trop proches non plus : Car les piliers du temple se tiennent à distance, Et le chêne et le cyprès ne croissent pas à l'ombre l'un de l'autre.
Gibran Khalil Gibran
Et dire que les vieux arbres sont si beaux ! Hélas, on n'est pas de bois.
Henri Duvernois
Pour savoir le sens vrai des lois phénoménales, ne faudrait-il pas connaître les corrélations qui existent entre les phénomènes et la loi d'ensemble ?
Honoré de Balzac
Au demeurant, de forcer ses ennemis qui tenoient les cymes des cousteaux, et les en dechasser à force, il n'y voyoit point de moyen.
Jacques Amyot
J'aurais pu rester seul, toute ma vie, devant un piano. J'ai fait ce métier pour les femmes… Parce que je les aime et veux m'en faire aimer. Seule, la réussite m'a permis d'apaiser mes relations avec elles.
Michel Polnareff
L'expiation est puissante : c'est le verrou sur la porte que l'on referme sur le passé.
Stephen King
Le prodigue et l'avare aboutissent aux mêmes haillons.
Victor Hugo