Citation de Edwy Plenel

← Précédent Suivant →
Ni rire ni pleurer, comprendre : Trotsky n'arrêtait pas d'asséner la devise spinoziste à ses partisans. Comprendre donc. Comprendre... - Edwy Plenel

Ni rire ni pleurer, comprendre : Trotsky n'arrêtait pas d'asséner la devise spinoziste à ses partisans. Comprendre donc. Comprendre avant de juger, expliquer avant de condamner.

Edwy Plenel

Toutes les citations de Edwy Plenel →

Explorer les Citations

Je peux tout nier de cette partie de moi qui vit de nostalgies incertaines, sauf ce désir d'unité, cet appétit de résoudre, cette exigence de clarté et de cohésion.

Albert Camus

Toute vertu est un sommet, entre deux vices, une ligne de crête entre deux abîmes.

André Comte-Sponville

Le désaccord avec soi même est le pire des maux.

André Maurois

Mon néant, pour un cheval !

André Velter

L'orateur pense et la parole suit.

Augustin d'Hippone

Un carré V. I. P., c'est souvent un cercle fermé.

Damien Caillaud

Mon chien mord de préférence les diabétiques... il adorele sucre.

José Artur

Les bras d'une mère sont plus réconfortants que n'importe quels autres bras.

Lady Diana

En art, c'est-à-dire en amour, il faut que l'intelligence suive comme un suiveur suit une femme avec l'idée de l'entretenir.

Léon-Paul Fargue

Il n'y a rien qui effraye plus les gens que les choses qu'ils ne comprennent pas.

Paul Claudel

Les médias donnent à voir, pas à réfléchir, encore moins à comprendre. L'image ment lorsqu'elle isole.

Paul Lombard

Je ne crois pas qu'il y ait eu un nom aussi important que Pierre Cardin dans l'histoire générale de la couture.

Pierre Cardin

Nous avons eu Dieu, la raison, la nation, le progrès, le prolétariat. Il fallait aux sauveteurs un radeau de sauvetage. Voilà donc, pour les aventuriers de l'Arche Perdue, les droits de l'homme comme progressisme de substitution.

Régis Debray

Connaître et sentir son bonheur, c'est en doubler la jouissance.

Stanislas Leszczinski

... ce béatifique sentiment de vivre la vie la plus profonde et la plus vraie au milieu des choses étrangères...

Stefan Zweig