Dans divers coins du monde, on est ce qu'on dit et ce qu'on fait, mais aussi ce qu'on lit ; en Turquie, comme dans tous les pays hantés par les problèmes d'identité, on se définit, d'abord, par ce qu'on rejette. Apparemment, plus les gens s'en prenaient à un auteur, moins ils avaient lu ses livres.