Citation de Elizabeth Barrett Browning

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Je t'aime du souffle, Sourires, larmes de toute ma vie ! Et si Dieu en décide, Je t'aimerai mieux encore dans la mor... - Elizabeth Barrett Browning

Je t'aime du souffle, Sourires, larmes de toute ma vie ! Et si Dieu en décide, Je t'aimerai mieux encore dans la mort.

Elizabeth Barrett Browning

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Si jeune que l'on soit, le jour où l'on perd sa mère, on devient vieux tout à coup.

Alexandre Dumas

Il est normal de s'approprier une oeuvre, qu'elle soit littéraire, musicale ou picturale. C'est de cette façon qu'elle continue à vivre après avoir quitté son auteur.

Andrea H. Japp

Loi de Parkinson : Plus une entreprise grandit, plus elle engage des gens médiocres et surpayés.

Bernard Werber

Il faut tendre la main à ses amis sans fermer les doigts.

Diogène de Sinope

Evite de craindre ou haïr l'artiste qui est en toi. Honore-le et aime-le... n'essaie pas de le posséder.

E. E. Cummings

Rien de grand n'a été accompli sans l'enthousiasme dans le monde.

Emmanuel Kant

On veut bien faire le bonheur des autres. Mais on n'aime guère - quoi qu'on dise - que ces mêmes autres se mêlent du nôtre.

Georges Perros

Il n'y a que les imbéciles pour croire qu'ailleurs ils seraient rois.

Jacques Godbout

Un diplomate qui s'est fructueusement agenouillé devant trois régimes successifs disait : Ce pauvre Janus qui n'avait que deux faces !

Jean Antoine Petit-Senn

Il ignora la souplesse du manége, la bassesse de l'intrigue et tous ces moyens méprisables qui mènent aux dignités par l'avilissement.

Jean Le Rond d'Alembert

La mesure d'une société se trouve dans la manière dont elle traite ses citoyens les plus faibles et les plus démunis.

Jimmy Carter

La preuve que l'amour relève du théâtre : après la scène d'exposition il faut passer à l'acte.

Philippe Bouvard

Sous-bois d'automne : symphonie pour bois et cuivre.

Sylvain Tesson

Il y a quelqu'un qui a plus d'esprit que Voltaire, c'est tout le monde.

Talleyrand

Disons le triste histoire de la mort des rois : les uns déposés, d'autres tués à la guerre, d'autres égorgés en dormant, tous assassinés.

William Shakespeare