Jamais je n'ai vu fille aussi orgueilleuse et désagréable. A tel point que ses manières méprisantes font oublier à quel point elle est belle.
Elizabeth Gaskell
Pourquoi n'irais-je pas lundi à mes obsèques ? Les fleurs seront mignonnes. Une actrice lira un de mes poèmes. Je dirai aux amis que je suis très heureux de les avoir quittés.
Alain Bosquet
Pour être irremplaçable, il faut être différente.
Coco Chanel
Quand un homme quitte une femme gonflante, on dit de lui que ce n'est pas un dégonflé... Bizarre.
Damien Caillaud
Que peut-on fabriquer au monde de plus nécessaire pour les êtres humains que des phrases ?
Erik Orsenna
La procession des Lydiens, en laquelle les jeunes garçons sont fessez et fouettez à l'entour de l'autel.
Jacques Amyot
Ainsi en va-t-il à Paris, les gens passent leur chemin sans se mêler de rien.
Jacques Expert
Je veux moins de valeur, et plus d'obéissance. Fuyez. Je ne crains point votre impuissant courroux, et je romps tous les noeuds qui m'attachent à vous.
Jean Racine
Ce ne sont pas les attitudes que je trouve comiques mais les états d'esprit !
Louis de Funès
La discrétion est la seule vertu qui souffre l'excès, sans en souffrir.
Marcel Jouhandeau
Les malheureux peuvent se résigner, mais les coupables ne connaissent aucune paix. Les angoisses du remords empoisonnent la volupté que parfois l'on trouve en s'abandonnant à l'excès du chagrin.
Mary Shelley
Métro boulot bistrots mégots dodo zéro.
Pierre Béarn
On a beau dire aux jeunes filles de dix-huit ans : attention, tous les garçons, tous les amours ne sont pas bons à prendre. Attention, toutes les promenades ne se font pas au clair de lune, attention, qui offre un chocolat se fait souvent payer en retour. On a beau dire, personne n'empêchera les jeunes filles de dix-huit ans de vouloir se rendre compte par elles-mêmes.
Pierre Bellemare
Il n'y a point de laides amours, ni de belles prisons.
Pierre Gringore
Au lieu de discourir continuellement sur la violence, on ferait mieux de cogner.
Roland Topor
Cours, assemble au drapeau nos braves combattants.
Voltaire